Eh oui un autre Zobin.....

À dormir , dormir que c'est bon pensa Zoro. Il ne faisait rien d,autre en ce beau midi et pour cause car le soleil tappait fort sur le sunny et étrangement notre épéiste ne voulait pas s,entrainer et son sommeil manquait de pronfondeur. Il devait avouer que les évenements de la veille ne jouait pas en en faveur de sa tranquilité d'esprit.Ce qui l,étonna grandement car normalement ce n,est pas une petite rixe avec le cuistot qui le troublait. Tout avait commencé par une petite fete. La veille au soir, ils avaient accosté un port plutot agité et tout l'équipage avait profité des rabais au *Pirate Repu* à l'occasion de la fete du patron. La fete avait commencée comme toutes les autres fetes de pirates: on entre, on bois, on mange, on boit, on rit, on bois.....Si bien que vers la fin, tout l,équipage s'était un peu laissé alller: Luffy, Ussop et Chopper èa default d'etre saoul étaient dans un état semi conscient (du a la nourriture) en *dansant* sur la musique nouveau genre de Brook . ( les skelletes sont effectivement affecté par l,achool)Franky avait découvert que son mécanisme marchait tres différament avec l,achool disons pour faire court que nombre jeunes filles allaient se rappeler longtemps du danseur en slip..... Quant èa Nami, elle pariait avec tout le monde du nombre de bieres qu,elle pouvait ingurgitée et comme les paris étaient tres élévé elle était de tres bonnes humeur. Zoro lui avait ingurgité assez de bieres pur assomer un cheval mais il restait relativement en controle de ses actes.Mais la plus a plaindre était Robin, sobre et n,ayany pas mangé les différents plats aux noms comme : *le poulet noyé au rhum* ou * le porc bourré*, elle restait en parfait controle des ses actes contrairement à Sanji. Il avait eu la mauvaise idée de vouloir impressioné Robin en buvant la * spécialité* de la maison dans un pichet.(plein le pichet). La *spécialité était juste pour les gros buveurs et se buvait en petits shooters.... Autrement dit en bon québecois * Y'étais chaud bein raide pis y,avait une de ces brosses dans le corps!!!*. Croyant avoir impressioné Robin au plus au point, Sanji oublia le gentleman pour devenir seulement le pervers en faisant des propositions assez osées à Robin. Zoro ne compris pas pourquoi il intervenu, Robin pouvait bien s,arranger tout seuls, mais il le fit pareil.
Zoro: Ero-cook, t'est trop faible pour supporter l'achool et avant de dire encore plus de conneries tu devrais partir.

Sanji: Ze fais ze que ze veux...
Et il lui balance un faible coup de pied . Zoro aurait pu simplement évité le coup et rire de lui. Mais en voyany Sanji avec Robin ( et aussi avec l,aide de l,achool) il explosa de fureuret mit au cuistot un mega-coup de poing dans le nez. Le craquement qui fut audible àa tous et le sang qui gicla lui redonna ses eŝprits: Il était dans un taverne èa moitié pleine avac tout le monde qui le regardait en pensant * quessez qui lui prend?*. Un rapide coup d,oeil à la salle lui fit comprendre que la fête était finis pour lui. Mais avant de partir, il regarda dans les yeux de Robin et loin de la répugnance èa laquelle il s'attendait, il vit une lueur

Le bel apres midi passa tres lentement ce jour-là, L,une des principales raisons est-que Zoro passa sa journée se rememorer (mot compte triple XD) les évenements de la veille. Son comprtement étrange n,arreti pas de lui revenir à l'esprit. Si bien qu'il ne voulut ni s'entrainer ni dormir ni méditer. Il restait assis à reflechir et à écouter le navire.IL apprit beaucoup de choses de cette maniere: On allait faire halte sur un ilot pour reparer le gouvernail ( réparations que Franky avait completement négligé hier...), le nez de Sanji était fracturé è trois endroits différents mais Chopper garantissait une guérison sans marques, Luffy parlait du drole de comportement de Zoro avec Ussop et se demandait si il devait en parler avec lui. De plus, Sanji se baladait avec un sac en papier sur la tete pour éviter de montrer à Nami et Robin ( avec qui il redoublait d,attention, ce qui enerva passablement Zoro)son visage mutilé et jurait qu'il se vengerait. Zoro en déduisit que pour sa sécurité il allait devoir chassé son repas ce soir.... Il réussit tout de meme à se convaicre que son comportement etait 100% du à l,achool, meme si inconsciament, è chaque fois qu'Elle passait sur le pont il reconnaissait son pas et que quand le vent emportait son parfum jusqu'à ses narines il pensat immédiatement à elle. Mais ça il ne s,en rendait pas comte... C,est presque avec délivrance ( il n,aimait pas faire de trop profondes reflexions pcq ça cassait son image de gros dur silencieux) qu,il acueilla l'escal. L'apres midi avait été pénible et il avait faim. L'ilot n"était qu,un bout de terre large comme long et pour aller a son bout 5 min suffisait. Un petit bois, pas de fruits et de gros *Quel Quechose* (clin d,oeil a ceux qui on lu Tara Duncan) dans l'eau. N'importe qui aurait passé son chemin mais les mugiwaras ne sont pas n'importe qui. Décidant de mettre le plus de distance entre Sanji et lui, Zoro parti au bout de l'ile, coupas un arbre et montra aux *Quel Quechose* qu,il avait tjs plus dangereux que soi.... Allumant un grand feu, Zoro se fit une brochette de *Grand-Prédateur-aux-écailles-bleus-qui-goute-le-poulet*. Au loin, il entendait les voix de ses nakamas et pour la énième fois de la journée il se demandait encore ce qu,il lui avait pris. Son corps réagit avant son esprit et quand il vit la silouette sortir du bois il était déjà en position d'attaque.
On se calme Zoro-Kun ce n,est que moi répndit Robin dans un petit rire
Que fait-tu ici? dit Zoro beaucoup plus heureux qu,il ne le pensait.
Je suis venu te tenir compagnie. dit-Elle simplement.
Zoro s,attendait à ce qu'elle lui parles des évènements de la veille ou de Sanji. Elle ne dit rien, fixant les étoiles. La suite de leur dialogue fut silencieux. Ils n,étaient plus que 2 personnes autour d,un feu ( avec un bout de *Quel Quechose* dans les mains) qui regardaient les étoiles. Quand , presque imperceptiblement ( mot comte triple XD), Robin retourna au bateau, Zoro sentit un vide sans Elle. Meme si il évitait de s,interesser aux filles, car il croyait qu'elles étaient tous comme Nami : peureuse, parleuse et avare, il devait reconaitre qu'Elle était tout a fait le contraire et que cet échange silencieux avait été le moment le plus profond jamais partagé avec quelqun d,autre. Il s'endormit en pensant à Elle. Mais comme il était un homme, il ne remarque pas l,importance de ce qu'avait dit Robin: Elle l,a appelé Zoro....

,est au son de la cloche du Suny que Zoro se reveilla. En fait il s,agissait plus de la sonnerie de la port de la cuisine que celle du Sunny, censée prevenir des *discretes* infiltrations de Luffy.( inutile de dire que deriere l,alarme les *protections* etaient nettement plus drastiques...)Le cuistot, avec le nez guérit sans aucune trace, venait servir les plats dans la salle-a-manger. Zoro beaucoup plus interesser par le specimen de *Quelque Chose* qu'il avait mit dans l,aquarium ne remarque pas tout de suite l'assiette posé devant lui. Cet evenement le destabilisa un peu (autrement dit il cligna des yeux...) et il se mit à inspercter avec suspiction le plate devant lui. À part le fait que Sanji avait tout fait pour rendre le moins appétissant possible, Zoro ne remarque rien d'anormal et l'odeur était tres alléchante. Mais comme Prudence est mere de Sureté ( voir que j'ai réussi à caser ça...)il s'appretai a tout foutre aux poubelles. C'est le sourire avenant de Robin, qui avait remarquée son manège, qui le convainqui à manger. Parfait se dit-il, Elle avait surement parler au cook donc tout s,arreangeait. Il aurait détester devoir allumer un feu sur le Sunny car Franky lui aurait surement casser les oreilles et Zoro voulait rester discret pendant un moment...Durant tout se repas, Robin ne cessa de l,observer avec son petit sourire et bizarement Zoro ne trouvait pas ça derangeant, en core un truc a mettre sur son drole de comportement. Sentant encore son cerveau défaillir ( pourquoi, vous devez le savoir) Zoro décida d,aller s'épuiser physiquement pour oublier. Il passa une demi-heure, sur le pont, a soulever tranquilement( si on peut dire que soulever des poids d'une tonne est un acte tranquil)des poids quand un évenement inprévu bousille completement sa concentration: Robin venait sortir de sa cabine vetu d,un superbe bikini mauve avec des fleurs dessus, Elle venait faire son bronzage et Zoro remarque que certaines ... euhhh.. parties de son anatomie tendaient beaucoup vers l'extérieur ce qui stopa net tout activité cérébral chez lui (c un homme apres tout..). En le voyant immobile avec c,est poids à la regarder, Robin eu simplement un petit rire avant de se diriger vers l'avant.Ce si mignon rire eu pour effet de lui faire lacher les énormes poids qu'il tenait. Une tonne sur du bois normal aurait causé un accident Titanic-iest ( jeux de mots poche je l'avoue) heureusement le bois de l,arbre-mon de résista. En entendant le bruit Robin se retourna et en voyant la gueule de poisson de Zoro lui fit un sourire dévastateur avant de se retourner pour allez bronzé sur le pont. Reprenant ses esprits, Zoro, mort de honte, repris avec l'énergie redoublée son entrainement. Qu'est ce qui lui avait pris? Il venait de s,humilier completement devant Elle. Et encore`la il se surpris: mais quesse que ca faisait? Il se foutait completement de son opinion, ou pt pas.... Perdu dans ses pensées, il ne vit pas Sanji arrivé avec un cocktail fraichement pressé. Lorsqu' il l,apercu ses poids devinrent subitement plus légers et il augmenta le rythme comme si un feu ( de désir bien sur) venait de prendre naissance dans sa poitrine. Comment une femme pouvait attiré autant son attention seulement en buvant!!! ( petit exemple: si ils étaient dans un film on entendrait surement un chanson de Barry White comme celle-la:https://www.youtube.com/watch?v=x0I6mhZ5wMw)"Concentre toi" se repetai-t-il. Il devait purger son esprit de ses désirs si il voulait atteindre la plénitude. C' est a ce moment que son "feu" devint de rage: Sanji, sur incitation de Robin, lui metait de l'huile à bronzage dans le dos avec des mains beaucoup trop balladeuses.... sa cadence accéléra a un tel point que ca pouvait etre dangereux si on passait trop pres." Pourquoi est-ce qu'il la masse aussi langoureusement et qu'Elle se laisse faire?" (Tous ensemble prenez un guess, pourquoi vous pensez?)étonné de ses propres pensée il nme remarqua meme pas que ses poids n'étaient rendus que d,imprésise formes flous... Et là il se passa 2 évenements qui le fit péter les plombs: 1 Sanji lui massait les fes... euh.. le bas des reins et 2 Au meme moment, Elle lanca un sourire a Zoro avant de fermer les yeux de plaisirs.... Son feu venait de se transformer en feu de foret seche alors qu,il fait 40 a l,ombre... Il ne fut pas le seul a peter une coche ses halteres venait de fracasser la coche de sécurité. Résultat: un poids de 50 kg foncant comme un missile sur Sanji... Il ne put l,éviter et foutu le camp à l,eau. Au passage il venait aussi de détruire toute l,eau potable que Franky avait laissé sur le pont. L'heure qui suivit fut nettement moins agreable que de lancer un missile sur le cook: Nami l,engueule pour l,eau, Luffy pour avoir blessé un nakama, Franky pour les éraflures sur le pont et Sanji ( em direct de son lit) pour l,avoir quasi tué. Mais Zoro s'en foutait car cela valait la peine pour éteindre le feu dans sa poitrine. Cette nuit là il comprit qu'il n,allait pas bien: il était sur qu,il était infecté par un virus qu'il l,obligeait a agir stupidement comme le cuistot avec toutes les femmes. La solution était simple: Il devait se tenir loin de Robin pour un temps. Et il se rendormit sur la conviction qu.il était malade. Malade oui de quoi il l'ignorait . Il s'en foutait mais moi je vous fais une confidence: son nom c,est l'Amour.

Zoro était en colère ce matin-là. Son ventre vide et sa gorge sec n'aidaient pas son humeur disons difficile. Il était en colère contre tout parce qu'ils le boudaient à cause du petit "incident" avec l'eau.Il détestait le cuistot de ne pas lui donner à manger, il détestait Franky car le Sunny n,arraivait pas assez vite a la prochaine ile, et par dessus tout il se détaistait lui même pour toutes les conneries qui avait faits ces derniers jours. Il adorerait pouvoir dire qu'il détestait Robin de lui faire faire de l,effet mais il s'en sentait incapable.C,est dans cet état d,esprit qu,il passa le restant de son avant-midi. À midi, ils accosterent sur une ile beaucoup plus grosse que la derniere, débordant de fruits, d,oasis et ayant son propre micro-climat tropicale. Un paradis selon certains, un garde-manger selon Zoro. Voyant bien que l,équipage lui en voulait encore, il s,éclipsa discretement dans la jungle en quête de nourriture. Et qui sait? peut etre en ramenerait-t-il assez pour que le stupide cook lui pardonnne le petit "incident". En cas contraire il pourrait tjs se faire des reserves. La chasse fut si facile qu'il la trouva ennuyeuse. Au bout d,une heure il ramena a peu pres l,équivalent de ce que Luffy mangeait en 2 jours. 9 Le meme poids que ces halteres.) Grace a un intestin de "Gros-Pachyderme-Bleu-sans-défences" déroulé, il put attachés ses proies et les trainer jusqu,au navire.( Bein quoi? C un moyen comme un autre qui nécessite juste un peu plus "tripes".) Apres cette salissantes corvée, Zoro décida de revenir au bateau. Bizarement, il ne le trouva pas a la place prévue.( Incroyable!!!) et il arriva a la seule conclusion possible: encore en colère contre lui l,équipage c'etait ligué pour déplacé le bateau pour lui faire croire qu'il s'était perdu. ( Vous aviez tous devidez non) Redevenu en colere Zoro s,enventura plus profondement dans la foret ( croyant se dirigé vers une autre plage) quand il tomba sur une serie d,empreinte. Seulement voila, les empreintes n,étaient pas celles de ses amis. " conclusion lui vient a l'esprit : 1 l'ile était peuplé d,etre qui se baladait nus pieds et qui avait amener ou capturer un de ses nakamas avec des chaussures. 2 il venait de trouver un bracelet avec de la kairouseki avec un style tribale. Donc le nakama capturé devait etre un utulisateur d'un fruit du démon. Il n,eut pas le choix: il abandonna ses proies et coura, sabres en main, en suivant les traces.( bien que les traces allaient en ligne droites il les perdits 3 fois...) Au son des tambours (car tout les autochtones mangeurs d,hommes possédaient des tambours) il sut qu,il venait d'arriver. Devant lui se tenait un village de 20 huttes et 4x plus d'habitants étaient rassemblés autour d,une marmite (original, oui je sais) avec une silouette à l,intérieure (devinez qui). En La reconnaissant son coeur enlfamma de rage: Robin, du sang séché sur le coté de la tête et les yeux fixé sur la pierre bleu ceignant son front. Malgré l,uregence de la situation, Zoro ne put s'empecherde la trouver si belle, la sueur qui coulait de son front du a la chaleur de la marmite... HEIN QUOI LA MARMITE EST ALLUMÉE? C la qu,il perdit le controle: bien que fervant adepte des causes désespéré en temps normal il n'aurait jamais imaginer devoir foncer, seul, au milieu d'une centaine de cannibales pour délivrer une femme. mais bon de toute maniere il ne pensait plus a rien. Son esprit cde survie venait de prendre le dessus. Tuant tout sur son passage il se fraya un chemin a coup de sabres jusqu,a Robin, coupa ses liens, et s'enfuit dans la jungle. Il avait recut bien des projectiles dans le dos mais il se foutait des ses minables picures comme de son premier rot. 200m plus loin il tomba à terre et il remarqua 2 nouvelles choses: ( je sais il remarque beaucoup de choses aujourd.hui mais que voulez vous c pas moi qui décide)1 un liquide chaud et poisseux lui coulait dans le dos : du poison et avec la paralysie et les vertiges dont il soufrait il devait etre sacrement puissant et 2 Robin, débarassé du kairouseki, lui portait un regard a la fois inquiet, fier, reconnaissant (tout ça legerement dosé, n'oublions pas qu,on parle de Robin) et une autre émotion qu'il ignorait ( devinons tous ensemble!!!). Il sut juste une chose: ce regard lui fit tourné la tete beaucoup plus qu,une dizaine de dards empoisonnés.

Zoro revait, il ne pouvait en etre autrement, car le lieu ou il se trouvait ne pouvait pas exister. Imaginer un immense dome blanc avec pleins de Zoro de toutes les couleurs. Ils se ressemblaient tous a l,exception de leurs consistance. Certains étaient tres visibles, d,autres moins, et il pouvait jurer avoir vu un transparant... Bon, premierement, comme tout les reves on un sens, il devait trouver pourquoi il était ici et pas ailleurs. Ses derniers souvenirs remontaient au tendre regard de Robin rempli d,un *je ne sais quoi*. *C'etait de l,amour crétin* repondit une voix dans son dos. Zoro se retourna a la vitesse de l'éclair pour voir qui l,avait insulté. *T qui toi abruti?* dit-il à un de ses clones les plus conscistant de couleur orange foncé.* Je suis toi, imbécile tu l'a pas remarqué?*dit-il d'un ton ironique. Zoro avait déjà les nerfs a vif et le fait de se disputer avec soi meme ne les aidaient pas...* Sois poli avec le Boss, Arrogant* tona un nouvelle voix dans le dos de Zoro ( mais c une manie ou quoi?) Zoro se retourna (encore) pour faire face à 5 nouveau clones completement consistants : Un colosse jaune, un gars fatigué gris, un gros bleu, un autre rouge presque noir et le dernier rose-rouge, le seul aux 3/4 transparent et celui qui avait parlé. *Bonjour Créateur* dit le dernier* Bienvenue, dans votre tete. Voici: Force, Paresse, Feteur et Combatant. Je crois que tu a déjà fait connaissance avec le crétin Arrogant* le concerné n'était pas sourd et la réplique ne se fit pas attendre. * Toi, le nouveau consistant, si tu veux pas mon poing ou jpense....* Zoro n'avait pas la moindre idée de ce qu'était un consistant mais il décida d'arreter la dispute ( car si se gueuler apres pouvait passer mais 2 soi-meme qui s,engueulent... y'a de quoi pêter un cable...)* Sa suffit, pouvez vous me dire ou je suis et qui etes vous?* Arragant murmura quelque chose et Zoro se demandait si sa ce faisait de s,étrangler sois meme... *Nous sommes tous des attributs ou des comportements que resortent chez toi. Plus il est consistant et plus tu le ressent* lui répondit le clone rouge-rose * Comme là on peu voir Homosexualité cotoyé Couardise.* Zoror ragarda dans la direction indiqué et ne vit rien. Ce qui déclanche l,hilarité générale. OK il venait vraiment de se conter un joke a soi-meme et il l'avait vraiment rit? Il savait pas ce que les sauvages mettaient dans leur poison mais c,était du bon! * Bon je crois pas que tu te sois présenté* demanda Zoro au dernier clone, avide de changer de sujet. * Tu ne devine pas? moi je suis Amoureux-fou.* répondit-t-il sur un air joyeux. Zoro aurait été moins surpris de voir une vache parlé. ( meme si techniquement il avait entendu Dalton parlé et il était quand meme un bison....) Lui amoureux??? Impossible, il ne pouvait pas se le permettre, une femme c'est emmerdant et ça le destabiliserait dans sa quête. ( c'est son avis pas le mien..) Tout le contraire de ses principes. * Tu dois faire erreur, il est impossible que tu fasse partis des plus representatif de moi!* Loin de s'étonnné Amoureux-fou dit simplement: *Et Robin?* Là tout devient clair dans sa tete ( enfin facon de parler car dans ca tete il pouvait en témoigner il faisait déjà clair..): la rixe avec Sanji, les faveurs, le bronzage, le feu de rage, le massage, la compagnie au pres du feu, tous les sourires et les rires suivit de leurs effets devastateurs: il était amoureux et surement elle aussi! Essayant de se mentir a lui-meme (encore a prendre littéralement.) il dit a Amoureux-fou * Mais elle est trop vielle pour moi!* Il répondit, d,une traite comme si c,était un discours: * Non elle n'est pas trop vielle car en amour le coeur est aveugle, Oui elle s'interesse a toi, Non ça ne détruira pas l,équipage, Oui tu devrais lui parler et Non je ne dis pas de conneries* Zoro ne dit rien car il avait parfaitement raison ( normal vu que c,est lui meme!) et avant de se reveiller il eu juste le temps de dire *J'aime Robin..* Il remarqua a peine qu,il était dans l,infirmerie du Sunny.Il remaquait seulement que Robin le veillait. Elle lui fit un sublime sourire, lui embrassa la joue et le regarda se rendormir. quand Elle fut sur qu'il s'était rendormit elle lui dit ces mots à l,oreille * Tu parles en dormant*...

Zoro soufrait. Sa tête menacait d'exploser sous le flot continu d'images. Son sang bouillait et ses nerfs étaient en train de rompre. 24h, c'est le temps qu'il avait passer à souffrir du poison des indigènes. Si au début tout allait bien et qu'il avait meme rever la suite de son traitement devint presque aussi douloureux que lorsque il avait absorbé la douleur de Luffy. 24h et apres tout s'arreta. Le poison avait été purgé et apres une nuit de repos ( suivis d'une journé, d'une autre nuit.... en gros il avait dormis une semaine...) il était au 100% de sa forme ( disons plutot 95%) et de nouveau pres a s,entrainer. Mais finalement il ne put se lever de son lit ( auquel, une semaine plutot, il avait envoyé le cuistot...2 fois...) où il était solidement attaché par Chopper. ( Avec des tripes de Gros-Pachyderme-Bleu-Sans-Défense. Sadique dans cet équipage non?) Durant sa convalescence, il en appris beaucoup sur la situation grace a Chopper visiblement soulagé. 1 le poison était tellement fort que en meme dose qu'il avait recu un troupeau d'éléphants serait mort ( 5-10 les éléphants il n,est pas Chuck Norris apres tout), C,est Robin qu'il l'avait ramené, mourant, au bateau( tjs a la meme place donc c fichu pour l,hypothèse : ils l'ont déplacé XD), ils étaient tjs au large de l'île car le Log Pose finnissait de se recharger demain, et Finalement tout le monde était content qu'il soit en vie. La seule chose que Chopper ne voulut pas dire, Zoro la sut en regardant le mur: il voyait seulement 2 de ses 3 sabres. LE WADO AVAIT DISPARU!!!! Eh merde, il avait du tomber dans les brousailles lors de son leger étourdissement ( si on peut qualifier de léger l,acte de s,évanouri suite a un poison méga-mortel) C,est une autre des raisons pourquoi le bateau restait au meme endroit, car bizarement, Robin voulait attendre Zoro avant de chercher le sabre disparu ( Pourquoi pensez-vous?). Sans son reve, Zoro aurait surement refuser son aide ( et se serait surement perdu) mais maintenant il chérissait cette idée : Lui, Elle, seuls dans la forest... le moment idél pour lui avouer son amour ( Ce qu,il ignorait c que entre dire *je vais lui parler* et et Le Faire il y a le meme espace que la différence Homme-Femme: enorme....(l'espace)) Emballé par cette idée il parti sur le champs et Robin le rattrapa juste a temps. ( a prendre littéralement car il allait vraiment se perde si Robin n'était pas arriver.) Il apprécia vraiment cette excursion. Si il n'était pas dans une jungle bourré de cannibales avec un poison overpower et qu'il oubliait que la 1/2 des plantes essayait de le bouffé il pouvait preque prendre ca pour une promenade de courtoisie. Il ne pouvait s'empecher de L'admirer: ses beaux cheveux noirs flottait derriere elle, Elle marchait d'un pas ferme et asuré mais Elle se déanchait pareil, Elle avait retiré ses lunettes de soleil et ses yeux refletait toute sa détermination. 1 heure plus tard, ils arriverent là ou le Sauveur devint Sauvé. C'est là que la partie plate pour lui arriva. Il devait chercher son sabre dans un cube de 10x10 metres, sous une chaleur accablante, avec de la vegetation "Agressive" et par dessus tout il devait s.éloigner d'Elle. Au moins, il mit ce temps a profit pour s,imaginer ce qui lui dirait. ( C,est là qu,il remarqua la différence entre le "JePense" et le "JeFait".) Toutes sortes de choses lui passa par la tete: Il allait lui faire pars de ses sentiments a genoux, Non il ne voulait pas s,abaisser, Il allait lui reciter un poeme, Pas question! un romantique il en avait deja un dans l'équipage. Il allait faire ceci ou bien cela... Rien ne le décidait et le temps de la découverte du sabre approchait. Quand soudainement leurs mains se touchèrent en trouvant le Wado et il eu La Révélation: IL était un bretteur, un homme d,action. Pas un minable romantique cucu ( personnelement j'ai rien a dire contre les romantiques). Si il devait la conquérir c,était maintenant ou jamais. Elle sut ressentir sa détermination car Elle se laissa faire.
Il tendit la tete
Elle tendit la tete
Il ferma les yeux
Elle ferma les yeux
Il approcha les levres
Elle approcha les levres
.....et le sol, sous eux, s'éfondra dans les ténèbres.

Zoro avait mal a la tete. Pire qu'un lendemain de veille, il avait la facheuse impression que sa tete allait exploser ( 2 fois en 2 jours quelle chochotte) Il était a demi-conscient et la seule chose qu'il remarquait c'était le froid. Son esprit devait lui joué des tours car il y a un instant il suait sous un climat tropical. Le froid était pourtant bien présent, puissant et malsain il lui embrouyait l'esprit. Avec un effort surhumain ( donc normal pour lui) il réussit a ouvrir les yeux et constater sa pitoyable conditon: Il était étendu dans une flaque d'eau si froide qu'il trouvrait surprenant qu'elle soit encore solide ( si l'eau gele a 0c cette eau est donca 0,5 c), il se trouvait dans une grotte aux murs noirs éclairé par quelques ouvertures dont la plus proche se situait a 20 m audessus de lui. ( son point de départ sans doute et apres SEULEMENT 20m il soufre? mais quelle lavette!) et il sentait un poids mort sur sa poitrine. Son nez La reconnu avant ses yeux. Robin l,avait surement suivi dans sa chute et lui avait tombé dessus ce qui expliquait pourquoi il soufrait au dos ET au ventre. Il lui avait surement sauvé la vie car Elle respirait tre difficilement. Il mit un moment avant de comprendre pouurquoi Elle n,était pas consciente ( si on comte pas la chute de 20 m): 1 Elle avait une fracture ouverte a la jambe d'où s'écoulait un flot de sang 2 Ses levres bleus suspectaient l,hypothermie et 3 les murs de la caverne étaient entierement faits de Kairouseki! (Pas étonnant que les sauvages s,en servent, car il est si facile de faire des armes avec ce qu,on trouve a ses pieds....)Bon se dit-il il devait régler les priorité. À l,aide de sa chemise, il confectionna un garrot pour arreter le sang. Et il la frictionna pour qu'Elle retrouve des couleurs ( job ingrate : masser une superbe femme inconsciente dans le but de la réchauffer... Eh! Mais ca ressemble a des préléminaire ca!) L'instant où elle ouvrit les yeux déclancha un cri de bonheur à Zoro ( et un cri de douleur car en se réveillant Elle venait de passer sa soufrance sur le premier objet en lui enfoncant ses ongles a l'intérieur, Dans se cas ci cétait la cuisse de Zoro...)Elle était tellement a bout qu'Elle pouvait a peine parler. * J'ai froid* dit-Elle à voix basse * t'inquiete pas on va s'en sortir* le rassura t-il. Devant l,urgence de la situation il fit le seul geste envisageable: il la prit dans ses bras et courut dans le tunnel. Il sentait son corps geler sur sa poitrine ce qui eu effet de le faire accéler emcpre plus. Il courut de longues heures sans s,arreter de peur de ne plus pouvoir repartir. Il lui disait tout le long * Reste éveillé* ou *Parle moi* ( et elle lui répondait P.Sherman, 42 avenue Wallabie Sydney... pour ceux qui ont vu Nemo un film-culte)Bien sur Elle ne disait rien, mais il savait qu'Elle se battrait pour sa vie. Elle était une mugiwara apres tout! Il avait perdu sa notion du temps mais il savait qu,il venait de passer une nuit entiere a courir avec Elle dans ses bras ( un ptit jogging quoi...) Le désespoir lui donnait des ailes, il courait comme si l'enfer était a ses trousses ( au moins en enfer il fait chaud) Il remarqua a peine qu,il venait de s"échouer sur une plage. Il avait vaincu la caverne et avait sauvé Robin ( mission accompli Champion) Mais un coup d,oeil è Robin failli le tuer ; Elle ne respirait plus!!! Vite le massage cardiaque et le bouche a bouche (une autre job ingrate: masser la poitrine d'une femme et l"embrassant) Ses levres étaient si douces... Mais il ne pouvait s'attarder. Apres de nombreux efforts il la Ramena.. Elle ouvrit les yeux et Elle les fixa dans ceux de Zoro.
Il tendit la tete
Elle tendit la tete
Il ferma les yeux
Elle ferma les yeux
Il tendit les levres
Elle tendit les levres
Ils S'Embrasserent.

Un long baiser pattionel rempli d'amour et de tendresse. La rage melé a la douceur, la force melé subtilité, Lui mélé à Elle. Ils s'évanouirent les levres scellées.

Ce matin là, apres une nuit d'horreur, cette plage devint le repos de :
2 corps évanouis
2 corps bléssés
2 corps gelés
2 corps enlacés...

Zoro rêvait. Pas d'un rêve avec plein de monstres indestructibles ou avec des centaines de ses clones ( Même si question de point de vue ça revient au même...). Il ne pouvait se plaindre. Tout portait à son bonheur: il venait de sauver la vie d'une femme qu'il adorait, il s'était évanoui ses lèevres contre les siennes et surtout rien ne pouvait gâcher ce beau moment. Il était heureux. Libéré d'un fardeau énorme, il pouvait faire virvolter sa conscience sur tout les nouveaux aspects de sa vie. Il explorait tantôt là, tantôt ici. Son âme légère lévitait et lui cachait les 2-3 soucis à venir: la réaction de l'équipage ( en particulier celle de Sanji qui ne lui avait pas encore pardonner le coup ( dans les 2 sens) des haltères... Quel rancunier.) ou bien le "Comment" retourner au navire restaient encore à résoudre. Mais bon, pourquoi se soucier de problèmes qui n,avait pas lieu ici? Tellement absorbé par son rêve, il ne remarque même pas qu'il était sur ses 2 jambes... attaché à un poteau. Mais ça il s'en rendra comte bien assez vite... C'est le roulis de tambour qui le sortit de sa torpeur. Il était revenu à un endroit qu'il ne connaissait pas bien mais où les habitants ne l'avaient pas oublié. ( En effet, car quand vous vous apprêter à manger et qu'un fou furieux qui tue tout sur son chemin repartait avec votre nourriture...Disons que ça vous marquerait...) Le déclic si fit quand il regarda comment il était arrangé: attaché à un solide poteau, torse nu avec des runes à l'encre rouge ( ou du sang de jeunes vierges, chacun ses goûts.) et nu pieds. Le poteau en question était lisse et des crânes avec une forme pas très encourageante.... humaine, pendaient en masse. ( Les derniers repas surement.) Il avait aussi autour du coup un énorme morceau de Kairouseki taillé en forme de tête de mort. ( Super originale! Pourquoi les cannibales utilisaient toujours ce motif macabre? Pourquoi ils utiliseraitent pas un autre modèle plus simple et qui refleterait la joie de vivre? Comme une margueritte: Facile à faire, simple et joyeuse... bon je crois que je m'éloigne.) À voir tout les visages hostiles déposés sur lui, Zoro pensa qu'il aurait pt besoin d'aide. ( Si on avait été dans un film, le héros principale n'aurais jamais demandé de l'aide. Il s'en aurait sorti avec une arme cachée ou il casse ses liens et ses enemis avec sa force brute ou bien un allié, de préférence un fille sexy qui passe ou va passer ses nuits avec le héros, le libère et ils tuent tout le monde.) C'est à ce moment qu'il la vit :Elle était exactement arrangé comme lui ( la poitrine à l'air aussi et je soupsonne des mauvaises langues qui pensent qu'il ne la remarqué que pour ça...) à l'execption qu'Elle était étendue sur une dalle en pierre, les bras et le jambes ligotés de manière à formé un "X". Par pudeur, il détourna le regard sur le premier venu ; un colosse avec un masque effrayant et un couteau dans la main qui s'approchait du corps inerte de Robin. Le coeur de Zoro manquit un battement. L'individu devait être le chaman qui procédait aux sacrifices!!! ( Robin avait justement l'air d'un gentil agneau) Sa colère fut terrible: " Relâche là" dit-il sur un ton dangereusement calme. Le colosse rit. Pas très longtemps car il venait de se ramasser le premier object que Zoro saisi ( car il avait bien sur détruit ses liens comme dans l'option 2 du héros) c,est à dire : le poteau. Il l'avait projeté comme une fusée sur le chaman. Maintenant que le plan B comme Blablater ( çca existe?) avait échouer il avait passer au plan C ... comme Carnage. Durant une heure, il tuait tout à mains nues, il cassait des nuqes et arrachait des gorges ( et aussi un autre paquet de truc déguelasse : Let's imagine!!!) Au bout d'une heure de meurtres, Zoro devait faire attention pour ne pas marcher dans des trucs gluant et informe ( est-ce que j'ai dit qu'il éclatait des cerveaux aussi?) Soudainement un voix retentit dans son dos : "Rends-toi" dit le chaman, avec un bras ( l'autre avait disparu avec le poteau) qui tenait un couteau sur la gorge de Robin....

Zoro fulminait.Ce pathétique chaman osait t-il vraiment La menacée d'une arme? Non seulement il la menacait mais en plus il détestait l'endroit ou il avait mis sa main. ( En effet, sous le coup de l'émotion, ce chaman pensait pouvoir sauver sa peau si il menacait la fille qui sembalit etre le noyau des pulsions meurtrières de l'espece de monstre indestructible qui a massacré toute sa tribu. Mais là, avec la fatigue et son bras en moins, ilo accotait sa main sur un des s... euh une des b... disons donc "la-généreuse-exubérance-féminine-gauche" de la femme. Erreur qu'il allait aprement mais surtout douloureusement regrettée.) Le chaman n'améliorait pas ses chances de survies, déjà dangeureusement basses a cause du dénument de Robin, Zoro planifiait déjà une tonne "d'activités"... (Du genre avec beaucoup de A et de ! comme : Ayoye! Aouch! Aie! ou le légendaire AAAAAAHHHHH!!!!!!.) Comme le calme avant la tempete, Zoro dit tranquillement " Relache-là" avec les dents serrés. Tout le mépris dans sa voix fit flancher le colosse manchot. " Si je la relache , tu vas me tuer et avec un bras en moins je ne pourrais rien faire. ( Pour ceux qui se poseraient des questions, Oui le chef des cannibales vient bien de parler un francais franc et correct. Il l'a surement appris grace à tout les cris de souffrances que les prisonniers lâchaient avant de partager son repas... dans les 2 sens...) Et là Zoro sorti THE Replique. La légendaire, La Terrifiante, La Réputé et Redouté.La Terrible Réplique qui tue: " Ouain pis?" ( Car je tiens a signaler que malgré le fait qu'il lui a "coupé" son bras en dehors d'un duel, Zoro n'agira pas comme un imbécile aux cheveux roux en disant a un ennmi over-power: "Coupe moi le bras a moi aussi car ce n'était pas moi..." Pufffff... dans un combat a mort il faut saisir toutes les opportuinités.) Estomaqué, le chaman la seule chose qu'il pouvait faire : il leva son couteau et visa le s.... euh je veux dire le " Tres-imposant-renflement-féminin-gauche" de Robin. Zoro pêta un cable "N'Y TOUCHE PAS!!!!" cria t'il. Le miracle se produisit: sous la décharge du cri de Zoro, le coeur du chaman avait littéralement explosé. ( Bon comme le coeur se trouve à l'intérieur de sa poitrine, Zoro ne peut pas etre sur de l'explosion mais il se fia au bruit et a la face du chaman pour donner son jugement) "Mauviette" pensa Zoro. Un petit cri de rien et il meurt de peur. ( Devinez ce qu'il avait de spécial son cri. Indice : 4 lettres commencant par H...) Encore un peu sous le choc de sa brusque "attaque", Zoro mit un moment avant de mettre un therme a cette situation : Il était couvert de sang, au beau milieu d'une tribu entierement morte, avec une femme à moitié nue sur dalle en pierre.... attachée et sans défenses... Si il avait été un peu plus comme Sanji (Dans le sens du pervers et non du gentleman, je tiens a garder ma tete aupres de ses fans...) il en aurait surement profité mais a la place il la couvrit affectueusement d'une cape pas trop taché de sang et coupa ses liens avec son sabre qu'il avait retrouvé. Au moment où il lui enleva son collier Elle retouva ses esprits. Elle sorti son rire si mignon (qui destabilisa beaucoup plus Zoro que éclater des coeurs en criant) et prit un malin plaisir à lui faire remarquer subtilement qu'Elle était parfaitement au courant qu'il l'avait vu a demi-nue... Ils reprirent leur route vers le bateau: Lui taché de sang et Elle drapé d'une cape. Complétement ( ou presque) differents, ils se rejoignaient en un point : L'Amour. Symboliser par leurs mains liées. Arrivés en vue du bateau, Zoro lui demanda " Que fait-on maintenant?" " Pourquoi ferait-on quelquechose?" Elle répondit. "Beinnnn... leur dit-on pour nous 2?" dit-il. Elle le re garda droit dans les yeux, l'embrassa royalement et lui dit avant de partir " Qu'est ce qu'il y a entre nous 2?" et Elle parti nonchalament seule. ( La réponse typique des femmes. Au lieu de dire "Je sais pas" Elles te remet en question pour que tu pense a sa place et pour que au final c toi qui décide et c Elle qui a raison.) Zoro sentit que ses ennuis, mais surtout son bonheur ( et des tonnes de problemes), ne faisaient qur commencer.

Zoro méditait. Il était assis sur le mat du Sunny et regardait la lune. L'exercise consistait à s'inspirer de la lune pour atteindre son but mental : devenir Libre, indépendant et indomtable. Mais pour etre 100% honnete , sa méditation avait un autre but: À minuit pile, lorsque tous dormiraient, Elle le rejoindrait. Cela faisait une semaine qu'ils avaient quitté L'Île Aux Cannibales ( bon maintenant elle était devenu L'Île Aux Cannibales Morts....), une semaine qu'ils s'étaient embrassés, une semaine.... a vivre l'enfer. Car meme si Zoro, comme tout homme qu'il était, pensait que une fois la "demande" scellée par un baiser les 2 peesonnes sortaient ensemble et ça finissait là. ( Au qu'il est loin de la vérité car il a juste oublié un détail.... la deuxieme personne est une femme... donc complications a ne plus finir.)Mais pour une femme c'est totalement différent. Zoro ignorait si ils se frequentaient, étaient en relation ou en instance de couple. La seule a le savoir était Robin ( Car tout le monde sais, en amour c tjs la fille qui décide ou sa va. Sinon ca peut pas durer car si c le gars qui décide la fille ne feras jamais de compromis...) En une semaine, Zoro en avait vu de toutes les couleurs et en plus il était persuadé que Sanji se doutait de quelquechose . Depuis, Zoro préferait que leur relation reste secrete et il ignorait si Robin était en désaccord avec ça . Pcq quand il lui posait directement la question, Elle trouvait tjs un moyen de lui faire changer d'avis ( le plus souvent en faisant mine de partir ou en l'embrassant.... comme c mannipulateur...)Résultat : il ne savait pas où il était et où il s'en allait ( en core un sens de l'orientation désafectueux.)C'est à ce moment qu'Elle arriva, Robin venait d'interrompre, majistralement, ses pensées. Elle était magnifique, Non qu'Elle soit habillé très spécialement, Chandail ample et shorts pour dormir, ( un truc pour vous les gars, peut importe comment votre blonde est habillée dite lui qu'elle est magnifique et LÀ vous aurez le controle du couple... pour le moment) Elle avait un je-ne-sais-quoi qui la faisait déborder de charisme ( pour les joueurs de D&D elle tapperait au moins un 20 (+5)) On dit que le chat a une démarche qui sert a fasciner sa proix,alors Zoro savait exactement comment se sentait les souris : charmé, paralysé, emprisonné ( et morte pour la pluspart des souris.) Elle avançait d'un pas assuré en faisait balancer légerement son corps, Zoro, obnubiler par ce chef-d'oeuvre de grace, remarqua a peine qu'Elle l,avait rejoint." Alors, on a la tête dans les nuages ?" dit-Elle d'une voix de velours. Si quelqu'un avait dit è Zoro, à ce moment, que toutes les femmes étaient des sorcieres, il l'aurait cru. Il était completement hypnotysé et il ne détestait pas ça. ( Moi non plus ça ne me derangerait pas d'être "capturé" par une fille magnifique... aaaGRRRRR)"En fait, je pensais à nous 2" lui répondit-il Comme, réponse Elle l'embrassa sur le bout des lèvres ( moyen tres efficace de diversion) "Évite de te poser des questions et laisse la vie coulée..." dit-Elle ( peut-on etre plus inprécis?) Zoro arreta de poser des questions et l'embrassa farouchement. Au bout de leur long baiser, Elle ris. " Pourquoi rit-tu?" questionna-t-il "J'ai toujours l'impression d'embrasser un débutante et je trouve ça mignon." Agacé, il lui dit en serrant les dents "ne dit pas ça, je suis sensé etre un bretteur sanguinaire" Elle rit simplement et parti non sans un dernier baiser. Entouré de son parfum et la regardant rentré dans sa cabine, Zoro dit simplement " Je suis heureux."

Zoro nageait. Cela lui servait d'entrainement prématinal et il avait décider de nager... en trainant le navire dans son sillage. Car leur chère navigatrice avait subitement refusé de les guidé vers de nouveaux caps ( foutu déreglement hormonale.... une semaine de merde en perspective pour tout les mugi....gars.) et c Luffy qui l'a remplacé. Résultat: ils avaient attérient ( littéralement car Luffy aimait bien le "Coup de Burst".)dans Calm Belt. Aucun vent et des monstres marins à perte de vue.... et Zoro nageait la-dans (il subissait tres peu d'attaque car memes les monstres identifient facilement plus dangeureux que soi...) Il trimballait le bateau depuis 1 heure et il rembarqua dans le navire quand Nami revint en charge ( elle avait découvert ou Luffy les avaient envoyé et apres beaucoup d'onomatopés ,dans le genre Paf, Boummm,(pas Crac car il est fait de caoutchouc) Ayoye!!!, elle repris sa place comme si elle ne l'avait pas quitté.) Zoro ne dit rien et repris ses "activités" dans sa tour (comme dormir, méditer ou tout simplement rien faire.). Il "fréquentait" Robin depuis 1 mois maintenant et il était franchement heureux. ( bien sur, aucun changement visible.... faut pas que je tue le personnage tout de meme.) Personne ne connaisait son secret mais il avait de sérieux doutes à propos de Nami. Elle et Robin se parlaient souvent et qui savaient se qu'elles disaient? ( mieux vaut ne pas le savoir si on tient à sa santé mentale.) Nami le regardait souvent bizarement, avec un brin de dégout et un air Que-Ce-Qu-Elle-Lui-Trouve-?-Il-Doit-Etre-Bien-Membré-C-La-Seule-Explication. (eh oui ya pas juste les gars pour penser juste a ca) Elle avait raison d'ailleur et il satisfesait, effectivement, tres bien Robin ( no comments). Zoro et Elle se voyaient (ils ne faisait pas juste se voir d'ailleurs...) tout les soirs, sur le grand mat, mais a part sa la vie continuait normallement. C'etait peu, mais Zoro en profitait comme jamais. Tout devenait comme un gigantesque jeu : ils devaient se montrer leur affection en public mais discretement. Un crayon echappe et une rencontre de doigts, un regard furtif ou siffler une balade en se fixant des yeux etaient les plus utilis. ...À part ça rien de neuf. Le bateau avancait tjs vers le OnePiece ( sauf si Nami petait un cable, là le bateau pouvait se diriger vers pls endroits différents.) l'équipage ne s'était pas agrandit( a part les superbes poissons que Luffy invitait mais qui disparaissaient aux heures de repas...) et Sanji lui tappait régulierement sur les nerfs (l'épisodes des halteres n'aidant pas au social meme si tout le monde sait que le sport rapproche les etre.... meme si question sport je crois que Sanji preferait faire de la chasse au "gros"...). Il ne manquait jamais une occasion de déranger Zoro ( qui ne répliquait pas devant autant de pathéticité ( du mot pathétique...)). Des coups bas de tout les gouts jusqu'au insultes bien placés, rien n'était laissé au hasard. Zoro lui aurait surement pêté la gueule depuis longtemps si Robin ne détaignait pas sur lui. Il gerait mieux sa colere et se laissait meme plus souvent allé a des mouvements relaxités ( mots que j'ai cherché dans le dictionnaire.... et que j'ai pas trouvé). Autrement dit, tout allait si bien ( et comme je veux pas que l'histoire soit plate je suis obligé de tout compliqué.... bein quoi? Liriez vous une histoire qui commence pas : Tout va bien et ca ne changera pas?) jusqu'à l'arrivé des Transmitus-Pirates

Zoro ne dormait pas. ( hahaha, j'ignore si vous l'avez remarqué mais à part les chap 1-2-3 tout les autres commencent par : Zoro (verbe à l'imparfait.)Là j'ai décidé de faire un phrase négative juste pour brouiller vos repaires. Machiavélique n'est-ce pas?)En fait, il ne faisait rien. Il déambulait sur le pont, sans but précis, à la recherche de quelquechose. En gros, il s'ennuyait. ( et comme le dit un certain dragon bleu, nommé Maitre Chem, (pour ceux qui lisent Tara Duncan, la seule série française que j'ai réussi a aimé ( sans offence pour les français)): l'ennui rend fou.) La vie au bord du bateau était nu-lle. Pas d'île depuis pls semaines, aucune attaque des marines ou un désatre marin. Tout le monde appréciait mais pas lui. Zoro c'est un tof des tof, un homme d'action, un Vrai (avec une majuscule!!!). Mais bon, comme vous me connaissez surement, vous devinez que ça ne dura pas....( si vous aviez pas devinez, j'ai une question pour vous: Vous branlez quoi ici?). L'action (enfin) arriva dans un "PLOC" bien sonore. Un bateau, ayant 2x la taille Sunny, venait d'apparaitre à ses côtés et en 2 min, une trentaine de pirates les abordaient. Voyant que, pour le moment, les nouveaux venus ne les attaquaient pas directement, les Mugis se mirent en garde mais ne repliquairent pas. Dans un nouveau "PLOC", un étrange homme venait d'apparaitre. Tout de blanc vetu avec une rose rouge sur son haut-de-forme, le capitaine s'adressa à eux: "Chers pirates, je me présente : Baron Samedi pour vous servir" dit-il dans une révérence. "Et voici mon équipage les Transmitus Pirates. Nous vous demandons vous entiere collaboration. Depuis quelques temps, j'ai inventé un passe-temps nouveau genre. Il s'agit de tué atrocement un membre de chaque équipage que je vois pour y laisser ma signature. Aujourd'hui est votre jour de malheur et prenez vous en au ciel ( et pourquoi pas à lui non mais..)" Devant le ridicule de la situation, Luffy retorqua " Va au diable, Baron du Dimanche." Là il le pris mal. Très mal. "JE DÉTESTE QUAND ON BAFOUE MON NOM!!!!! jE COMPTAIS VOUS TUER UN PION MAIS FINALEMENT JE VAIS PRENDRE....ELLE" cria-t-il en pointant Robin. Elle était tranquillement assisse quand Elle commença a crié de douleur. "Que fait-tu? ARRËTEEEE" crierent Zoro, Sanji et le reste de l'équipage. Mais il était trop tard. Robin saiganit de milles plaies et agonisait en criant. Soudain, il eu un nouveau "PLOC" et les Transmitus Pirates disparurent. Il ne restait de Robin que son nom sur les levres, l'écho de son cri et son sang répandu un peu partout sur le pont....

Zoro était mystifié.(haha retour a la normale pour le début de chap.)Sa douce moitié venait à l'instant de mourir sous ses yeux et il n'avait rien pu faire.Le pire, c'est qu'il ne pouvait rien faire.( Eh oui, car dans tout les bons films, quand un personnage proche du héros est assassinné, il y a 2 possibilités. Soit il le réssucite d'une maniere ou d'une autre et ils tuent le méchant qui avait baissé sa garde pour rire machiavéliquement. La 2ieme, ma préféré, et la meilleure. Le héros rentre dans une rage meurtrière de 10 sur l'échelle Je-Veux-Pas-Être-En-Face-De-Lui-Ou-A-Celle-Du-Méchant. Ça finis obligatoirement par la mort douloureuse, haut perché ou exotique (ex laissé tombé son ennemi de 37 étage dans le 1 et raser la mort du frere vengeur dans le 3. Merci Bruce Willis.) Mais là comme le corps de Robin a disparu et le méchant avec, comment réagira Zoro? Mauviette ou Apocalyptique?)Trop c'est trop.La conscience de Zoro se brisa et il tomba par terre (mauviette donc...) Des images flous lui parvenaient mais il s'en foutait. Elle n'était plus là.Son univers basculait et il ne pouvait pas le rattrapper. Il serait rester là si Sanji n'avait pas crier "Rooooooobin SWaaaaan". Là. Zoro pêta un câble.Si il avait baculer pendant une minute, Sanji venait de le mettre sur les nerfs. ( qu'il avait de tres tendus à ce moment là) Il se leva et se mit a crier comme.. comme... comme un homme "crissement" fäché. ( Pour les francais la traduction c: très, très, très faché!! Maniere apocalyptique en vu.)Il hurlait et voulait se jeter à l'eau pour aller, selon ses dires,"Tuer ce chacal puant, lui faire bouffer ses (petites) couilles crues, lui enfoncer tout ses matelots entres les fesses... ect,.." mais ses nakamas réussirent à l'assomer ( En fait, Zoro a du se manger une "Strong Right" en pleine gueule pour le ralentir, une Diable Jambe dans le ventre pour le calmer et un Gear Third en pleine gueule pour l'endormir... temporairement.)Losrqu'il se réveilla, solidement attaché a son lit, le soleil se levait. Le "somnifere" a été éfficace car quand la Tragédie s'est passé il était Midi.Chopper heureux de le voir debout ( en fait il était plus couché dans l'impossibilité de se lever...), le détacha et lui tendit un costume noir." Pour les funérailles"dit-il simplement. Meme pas 24h qu'Elle est morte et on lui dit adieu."En fait, ça fait 2 semaines que tu dors.On t,attendait. J'ai presque craint que tu ne voulais plus vivre." dit Chopper. 2 semaines!!! Il n'en gardait aucun souvenir. La cérémonie fut courte. Ils avaient tous du mal a digéré que leur camarade ne reviendrai pas. Tout le monde pleurait sauf Zoro ( et Brook pcq il a pas de yeux pour pleurer.... Skull Joke!) Il ne manifestait pas une seule émotion. Un masque blanc de théatre a plus d'expression que lui a ce moment. Apres la cérémonie, Zoro S'isola dans sa chambre. Mais a minuit il descendit aux canots. Il fut diablement surpris ( mais ne le laissa pas paraitre) d'y trouver Nami. "Alors tu pars vraiment?" demanda t-elle." Je peux plus rester." dit-il simplement. Nimportequi aurait essayer de le raisonner mais Nami elle elle connaissait la Vraie Histoire. Étant une femme elle ne dit rien car ça ne servait a rien. "Je peux retenir le bateau ici 2 mois. Fais ce que tu as a faire et revient" dit-elle en s'enallant. Se foutant de cette information, Zoro partit à la rame. laissant derriere lui le Sunny, ses souvenirs douloureux et une silhouette qui le fixait.... indice ses cheveux ne sont pas roux...

Zoro buvait plus que de raison. (Normal vu que c'est Zoro. Il est plus fort que de raison, plus rapide que de raison, a un plus gros pénis que de raison.... non non non je ne me décris pas...XD dsl sa faisair longtemps que je m'étais pas vanté...) Il occupait la derniere table du fond dans une pitoyable taverne. Les choppes vides s'accumulaient et les pires crapules des mers ( mais pas de Grand Line) s'assoyait à 3 tables de lui. (Zoro c'est comme une bonbonne de propane avec une flamme à proximité: ça peut éclater à tout moments et tu te tiens le plus loin possible.) Zoro buvait pour oublier. Il y avait déjà un mois qu'Elle était morte et 2 semaine qu'il avait quitté le Sunny. La première semaine, il avait tout fait pour retrouvé le Baron Samedi pour "lui poser quelques questions"...(Réplique de la série que je regarde dans mon cours d'anglais: Life.) Certains ne l'avaient jamais vus, d'autres ignoraient où il était. Beaucoup le recherchaient aussi car le Baron avait usé de son petit jeu assez souvent. Quelques uns lui riaient au nez, préférant rire de son malheur que de risquer de l'aider. (Inutile de dire qu'ils étaient peu nombreux avant Zoro et inexistants après...) Au bout d'une semaine il se rendit è l'évidence: Il était introuvable. À partir de ce moment, il sombra dans l'achool. Il avait élu domicile au "Buveur Vomisseur" une taverne reconni pour sa biere frelatée, son climat "chaleureux" et ses chambres propres ( me demandez pas pourquoi c'est écris comme ça dans leur brochure.)La meilleure place pour un deuil... Zoro passait ses journées à boire. De temps en temps un ivrogne rentrait dans son périmetre et en ressortait illico presto (pas tjs sur ses pieds... ou avec des pieds...) Tout changea quand, du coin de l'oeil, Zoro apperçu quelqu'un arriver à grande vittesse. Un peu saoul ( apres l'équivalent de 2 tonneaux de biere quoi de moins normal...) il ne réagit pas. Et il reçu un "ostie" de coup dans la yeule. ( un tres-tres gros coup dans la face pour nos amis les français.) Le mur céda sous son poids et il retomba dans la foret 100m plus loin. Quand il reconnu son assailleur, Zoro desaoula tres vite. Sanjo l'avait retouvé. "Alors Marimo, on déserte?" le nargua t-il. " Fou moi la paix Cook-De-Mes-2." retorqua t-il. "Le capitaine voulais que je te retouve, mais à voir la loque que tu est devenu, je vais laisser faire."ria t-il. Zoro, donc les nerfs étaient tres a vif, lui envoya le premier truc qu'il avait sous la main : un arbre. ( Oui j'avoue... J'adore faire remarqué que Zoro peut facilement lancer un arbre. Ça le met en valeur je trouve.) Sanji se mangea lui aussi un méga-coup dans la tronche. Mais avant de riposter, un vois sorti de nul part scanda "Arreter de me détruire, misérables mortels." Zoro et Sanji se retournerent pour voir la chose la plus horrible, la plus dangereuse, la plus laide et la plus menaçante jamais vue: un Lapin blanc. ( aaaAAA je vous aie eu...) "Je suis l'esprit de cette forêt, quittez moi et je vous récompenserai. Étant donné les circonstances, Zoro et Sanji sortirent de la forêt, plus par curiosité que par désir d'obéir. Un fois sortis, le lapin leur dit " Je réponderai à 3 de vos questions." Sanji, dans un élan d'amour, dit " Est-ce que Robin-swan pense à moi au paradis?" Zoro allait le frapper pour avoir gaspillé une question, mais le lapin répondit " Elle n'est pas morte, alors elle ne pense pas à toi." Sous le choc ,Sanji resta muet. (Qu'Elle ne soit pas morte ou qu'Elle ne pense pas à lui?) "Que lui est-il arrivé dans ce cas?" demanda Zoro, sous le choc. "Kidnappé par un certain Baron Samedi." réponda le lapin, conscient que ça les intéressait. Zoro et Sanji se regarderent et dirent d'une seule voix cruel et froide "Où peut-on le trouver?". Le lapin ignorait qui était le Baron Samedi mais son petit doigt lui disait qu'il allait avoir de la visite et pas d'agément ça c sur...

Zoro judilait. Il venait d'apprendre que Robin était toujours en vie et il débordait de joie. D'un autre coté, il jubilait pcq il savait où trouvé ce foutu Baron Samedi et juste à l'idée de le tenir à sa merci Zoro jubilait. ( Dsl je n'ai ni le temps ni l'envie de chercher un synonime... XD) Quelqu'un a dit un jour ( en tout cas j'espere sinon j'ai l'air cave) que chaque humain à sa part d'ombres. Celle de Zoro a assez tendance a se manifester quand il pense au Baron. D'apres le lapin ( c'est bizzarre à écrire ça...) Zoro devra traverser l'ile et atteindre le repaire secret ( plus pour tres longtemps d'ailleur...) des transmitus pirates. Il devait néanmoins s'accomoder d'un emcombrant bagage : Sanji. Depuis qu'il savait que Robin était vivante, il ne cessait de lui casser les oreilles avec des discours comme " Je viens te sauver Mi Amor!" ou "Prends garde Baron, je protège tjs les jolies dames!" ce genre de conneries quoi.... Le voyage passait tres lentement car Zoro s'était décider a ne pas parler avec le cook. Leurs discussion tournant tjs au désastres, il jugea bon de faire profil bas. Nos 2 héros marcherent pendant 2 heures quand tout à coup... (*Roulements de dés* hummm.... 37 sur la table de rencontre..) une bande de bandits sortirent des buissons. Nos héros les ayant déjà repéré (une bande de buissons qui marchent et qui parlent c'est pas de la grande subtilitée...) ils attendirent leurs intentions. Un gros barbus avança d'un pas lourd. (C'est sur yé gros!!!!) "Bonjour chers étrangers, nous sommes une bande de bandits de grand chemin et nous désirons tout ce que vous avez de précieux." Il ne se rendit pas conte que dès qu'il avait prononcé le mor "bandits" les 2 pirates s'étaient regardés. Zoro sorti une pièce de sa poche et dit "pile c'est pour moi". Il jeta la pièce, la rattrapa et dit " Face... Bon dépeche on est pressé." Sanji failli partir une nouvelle "chicane ( un de mes mots préférés en "Joual" Québécois.) mais il décida de se débarasser des geneurs. 2 min 10s plus tard, ils reprirent leur route. (Vous voyez? Je suis capable de donné un bon rôle à Sanji tout de même.) Durant pls heures, ils reçurent beaucoup d'attaques similaires en tout points. ( sauf pour les temps, le record est détenu par Zoro avec 1 min 37s.) "Tu sais quoi? Je trouve bizarre qu'il y ai autant de monde sur un chemin menant au repaire "secret" d'un Baron introuvable." dit Sanji. " Pt que c'est pour ça" dit Zoro en pointant un panneau qui disait " Venez visiter le meilleur des bordels! 1 km tout droit. ". En lisant ça, Sanji coura de toutes ses forces le dernier kilometres. (Son bon role en prend un coup je l'admet.) Zoro le suivit de loin (beaucoup moins enthousiaste) et ils arriverent à une grande batisse avec de jolies femmes perchés aux fenêtres. Sanji y entre le premier et alla voir la vieille femme qui semblait tout diriger. Zoro entra è son tour et l'atmosphère de débauche qui y régnait le répugnait plus que tout les bars qu'il avait visités dans les 2 dernieres semaines. Il demanda è la vieille femme une chambre à part et s'en alla dormir. Avant qu'il ne monte (seul), Sanji l'intercpta. "Veux-tu que je t'en fasse monter une après mon tour?" dit-il d'un air agard ( J'ai oublié de dire qu'il y avait beaucoup de fumée et que c'était pas à cause du feu de cheminé si vous voyez ce que je veux dire...) "Non" dit betement Zoro et il ajouta " Moi j'ai déjà quelqu'un à qui je suis fidel." Sanji, frustré d'etre interpellé sur ce ton, répondit "Qui serait assez conne pour ça?". Zoro lui tourna le dos. Mais en disant " Mais Robin-Swan bien sûr!"

Zoro dormait. Ou pt pas. En fait, il croyait rêvé. Vous savez le genre de rêve où vous y croyer tellement que ça devient vrai? Là, il était en plein dedans. Il savait juste qu'il n'était pas à l'endroit où il s'était endormi. Le lieu différait sérieusement de sa pitoyable chambre de bordel. (Car dans cet établissement, il y a une regle qui dit : Pas de "consommation" pas de confort.) Zoro se trouvait dans une forêt sombre mais pas lugubre. Les étoiiles scintillaient et elles se refletaient è la surface d'un bassin d'eau. Pour Zoro, ce lieu n'existait pas. (Premiere remarque de film: Quand le héros trouve quelquchose de bizarre y'a tjs un évenement monstrueux qui commence à la fin de sa phrase.) Le lieu était bizarre et... immortel. ( 2 remarque de film: Immortel=gentil=inutile. Ils ne se melent jamais au combats. Immortel-méchant=très mauvais. Se mèle beaucoup trop aux combats...) Une silhouette sorti du bassin. Zoro l'a reconnu tout de suite. C'était Robin....En fait c'était plus une entité qui avait son apparence. Zoro l'avait su tout de suite en regrdant ses yeux. ( 3 remarque de film: Si la phrase "...où y brûlent les feux de l'enfer..." vous vient à l'esprit en regardant les yeux d'un immortel: courez...vite. Sinon votre esperance de vie sera la même que celle d'une boule de neige en Enfer: courte.)Ces yeux étaient comme 2 miroirs semblant contenir les cieux. "Roronoa Zoro, Bienvenue dans mon sanctuaire. Les Dieux Paiens t'ont choisi comme représentant et je suis ici pour te tester. Accepte-tu?" Zoro, un peu sous le choc de parler à la silhouette d'une ex-morte, répliqua " Pourquoi j'accepterai de joué les esclaves pour des "êtres" qui s'approprie l'image D'Elle et qui refuse de se présenter ?" (4 remarque de film: Ne jamais, mais surtout jamais, contrarié un Dieu. On finis tjs par le regretté....)" Je suis dsl d'avoir été si mal polie avec toi, Roronoa Zoro. Je me nomme Gaeliade et je suis la divinité paienne de l'amour et de la guerre, appelé aussi la contreversé. Je fais parti du Panthéon Paien avec 11 autres "êtres" comme moi. ( Oupsss.... contrarié la déesse de la guerre est certainement pas la meilleure chose à faire...) J'ai pris cette forme pour te mettre à l'aise. D'autres questions?" Zoro demanda" Pourquoi et comment vous aiderai-je?" "PArceque sans moi, tu ne délivras jamais ta bien-imé et grâce à moi tu pourras te venger du Baron Samedi, protègé d'un des autres Dieux.( Admirer mon professionalisme: j'ai réussi à "ploguer" (ou brancher pour les francais) dans la meme phrase un message d'amour et de guerre.... OOOOO comme je m'aime.)Je te demanderais juste, une fois ta "tâche" accomplie, ramene mon cadeau à l'arbre Menoa, sur l'île Verte." Zoro demanda alors "Quel cadeau?" et à ce moments ses poings s'illuminèrent de 2"strappes" de cuire noir, (En francais ca se dit "bandes" mais a cause du vocabulaire québecois, j'aime mieux utilisé un autre mot...)à la manieres des poings américains. "Grâce à cela, tu pourra touché tout les utilisateurs de Fruits du Démon. Mais si tu l'actives, il y aura un prix à payer. N'oublie pas Roronoa Zoro. L'arbre Menoa, l'île verte." dit-elle avant de partir avec son rêve. (5 remarque de film: les cadeaux de Dieux peuvent facilement devenir des malédictions si on ne connait rien sur eux. La Boîte de Pandore, quelqu'un connait?) Zoro se réveilla en sursaut, le matin dans son lit au bordel ( seul évidament..) Il aurait cru rêver si il n'avait pas les joingtures noires.....

Zoro venait de se réveiller. Après la drôle de nuit qu'il venait de passé, il se levait avec un brin de difficulté. Mais bon, comme tout les héros, il était prêt dans la minute qui suit. Il partit s'assoir dans le salon en attendant Sanji. Il fût extremement surpris de le voir arriver 2min plus tard, prêt à partir. Il ne lui adressait pas la parole mais Zoro devina que sa révélation l'avait secoué. (Et pas qu'un peu... En passant, saviez-vous que par année, dans le monde, il y a plus de personnes qui meurt en secouant un cocotier et recoivent une noix de coco sur la tête qu'ils y en a qui meurent bouffer par des requins?) Ils partirent sans payer et avec les "Doormans" aux trousses. (Sanji avait un peu trop "consommé") Ils marchèrent longtemps sans échangé de mots. Zoro en profitait pour se poser de grandes questions: Les Dieux existent? Pourquoi l'avoir choisi lui? Quel est le prix à payer? (Et surtout: "Mais où est donc cette île Verte, on parle de Zoro tout de même.). Le lapin leur avait dit de traverser la "Forêt-De-La-Mort" et "Les-Plaines-Acides" avant d'arriver à la cachette.(Je fait un survol car même le Danger a peur de ces 2 là... Saviez-vous que vous avex 3x plus de chances d'être frappé par la foudre que de gagner au loto?) Ils arrivèrent à la grotte (Que c'est original! Un repère de malfaiteurs dans une grotte. DU jamais vu! Et je paris que la prte s'ouvre en disant :"Sésame ouvre-toi.") C'est à ce moment que Sanji éclata "Comment l'as-tu forcé à t'aimer?" demanda t-il. Zoro, pris au dépourvu, ne répondit pas. "J'ai tout essayer: la galanterie, les petites attentions, j'ai démontré de l'interet pour ses pations ect... Tout! Comment t'as fait?" Zoro, qui ne voulait pas s'éterniser, dit simplemeny "Je l'aime sincèrement et je ne l'ai pas forcé." (owwwww comme c'est "cute" ....Saviez-vous que le premier obus que les Alliés lancèrent, pendant le siège de Berlin, a tué le seul éléphant de la ville?) Sanji , peu convaincu, s'arreta là quand ils atteignirent l'entrée. Zoro sorti ses sabres et Sanji une cigarette. "Prêt Marimo?" demanda ce dernier. "Ouais pis toi Ero-Cook" repondit-il ("pis" veut dire "Et" en joual.) "Oui. Pas de pitié?" "t'as tout compris." dit-il en scellant la discussion. Ils entrèrent, ils tuèrent, ils arrivèrent à la salle des cages. Le Baron Samedi en personne était assis sur un trone de pierre au centre de la salle. "Félicitations, vous avex presque réussi à la libérer. Mais vous avez oubliez un détail.... Je déteste joué réglo..." Quand il finis de parler, 2 anneaux noirs apparurent aux bras de Zoro et Sanji. "C'est du Kairouseki" dit-il en s'approchant. "Vous ne pourrez plus utilisés vos FDD qui vous ont permis d'arriver ici." continua t-il en riant. Zoro et Sanji se consultèrent du regard. " Je vais par là...." "Et moi par là" dit Sanji en pointant la gauche. Le Baron Samedi se mangea un "calisse" de coup poing et un "calisse" de coup de pied qui l'envoya valser dans un mur.... (Réplique de Rush Hour 3 avec Jackie Chan.... il "l'épérimente" justement sur commissaire Français...) Il se releva, les yeux pleins d'inconpréhension, " Vous n'utilisez pas de FDD?" dit-il. Zoro répondit, en se craquant les joingtures, "Ehhhh non, Dommage pour toi..."

Zoro était diablement content.Il venait d'évacuer une bonne partie de sa frustration en frappant le Baron Samedi. Ce dernier avait d'ailleurs du mal à digèrer ce qui venait de se passer (heureusement pour lui, les liquides sont très facile a digèrer.... si il survit pour son prochain repas ) "Il me semble que vous soyez plus forts que prévus. Mais malheureusement pour vous, j'ai pris mes précautions..."Dit- il. Sur ce, il claqua des doigts et d'autres gardes apparurent. "Vous ne pourrez jamais battre mon fruit du Téléporteur! (J'ai la flemme de trouver son nom japonais...)" cria t-ilé "Je m'occupe d'eux, toi bute-le." dit simplement Sanji en s'élançant sur les gardes. Face à face, Zoro et le Baron Samedi se fixèrent longtemps.( Comme dans les westerns avec une musique d'harmonics et des bottes de foins qui roulent... sauf que là c des cris de souffrance qu'on entend et des corps de gardes roulent...) "Alors, on dirait bien qu'on va s'affronter..." dit-il avant de disparaître. Zoro évita de justesse un coup dans le dos. Il répliqua en le tranchant en 2... sans résultat... (Comme dans Dragon Ball: t'a beau couper,trancher, brûler, frapper, détruire, transpercer ou atomiser un ennemi, il trouve tjs le moyen de rejénerer et/ou ressussiter.) "TU ne me toucheras jamais sans Kairouseki.... minable." (Oups est-ce qu'il sait qu'il vient de se mettre dans la marde lui-là?) Zoro, frustré, lui envoya un coup de poing (coup+Zoro frustré= Ayoye!) direct dans la face, s'attendant à passer au travers... Eh non. Il le toucha et le réenvoya dans le mur. Étonné, Zro regarda son poing: tjs orné d"une "strappe" noire. "Ah oui c'est vrai. Elles me permettent de toucher les FDD." se rappela t-il (Tjs connaitre le mode d'emploi Avant utilisation.) Elles illuminèrent vertes un moment et il connu une fague de fatigue. "Ah d'accord, elles se nourissent d'énergie vitale. Je dois le finir rapidement." (Lire derniere parenthèse)pensa Zoro. Mais le Baron Samedi se releva "légèrement" changé: Il mesurait maintenant 2m avaec la musculature d'un ours des cavernes.... "J'ai du Les activées par ta faute, tu vas me le payer..." dit-il d'une voix rauque. Au même moment, Zoro remarqua les poings du Baron: couverts de "strappes" noires qui "flashent" rouges... "Ah oui c'est vrai, il est protègé d'un Dieu lui aussi..." (Notes: si un Dieu te file un tuyau compréhensible :É-COU-TE LE... c'est tjs de l'aide supplémentaire.) Le Baron se téléporta une fois de plus mais sans manquer Zoro. Ce fut son tour de faire un petit tour dans les cages... IL ressortit, le corps en sang et les mains nues, "Pas mal, à mon tour de te montrer un "Vrai" punch." (et une réplique qui tue, Une!) IL courra de toutes ses forces et il frappa avec toute son énergie dans le ventre du Baron. Il ne bougea pas.... contrairement à ses entrailles, ses poumons, ses reins, ses visceres, ses cotes, son coeur, son estomac, son pancréas, ses restants de déjeuner et quelques litres de sang qui éclabousserent le mur derrière lui... (Et un "Ownage" un!) "C'est qui le minable maintenant?" dit Zoro (une autre réplique qui tue, une!) Mais soudainement, des centaines de marines apparurent et les enserclerent. Ses "strappes" flashèrent vertes et avant qu'il tombe sans connaissance, il dit "Oups.... Panne d'énergie.)

Robin venait de se réveiller. (Haha! Non ceci n'est pas une faute de frappe et vous n'êtes pas fous. Après 18 chapitres a vanter mon perso préféré j'ai décidé de laisser, pour un temps, la place à sa douc...euh.. tend...euhhh à sa moitié.) La cellule dans laquelle Robin se trouvait était très petite. Un lit (simple évidament) une toilette. 3 murs de briques et une porte avec barreaux. (Modèl classique avec luxe et commodités de base. D'ailleurs je vous parie 10$ ou 11,3...12,4...euhhhh.. Etk un billet de 10 peut importe la monnaie, que les couvertures piquent. Le régal des peaux douces!) Ça faisait un peu plus d'une semaine qu'elle était prisonnière ici et projetait idéalement de s'evader dans l'heure qui suit. (Admirer sa sublime nonchalence) Elle se rappelait avoir été blessé par ce cancrelat (excuse la plus féminine que j'ai trouvé sur le coup.) de Baron Samedi, d'avoir été soigné par des marines et sequestré depuis. Selon les dires des gardiens: (demandez moi pas pourqoi les geoliers parlent tjs des sujets: Ne-Pas-Dire-Devant-Un-Prisonnier , devant un prisonnier... L'être humain doit être fait comme ça. Je suis sur que si un gros bouton rouge disant "Bouton Fin-Du-Monde NE PAS TOUCHER" existait, y'aurait sans aucun doute un humain qui le pousserait juste pour voir ce qui va se passer...)le baron Samedi serait un important collaborateur des marines et grâce à ses prisonniers, la marine était en position de chantage par rapport aux pirates. Évidament Robin était menotté. (GRRRRR menottée... quelle belle image pour l'ado masculin que je suis.)Mais pas de kairouseki. Elle était relativement peu connu et paraissait surement innofencive. (Grossière erreur ) Elle utilisa, pour s'évader, une technique "originale": (Car, stéréothŷpement parlant, quand une femme s'évade, il y a tjs les memes technique: 1 Elle séduit le garde, qui arrive comme un con, lui vole ses clés et s'enfuit.2 Elle crochete menottes/portes/serrures svec une épingle à cheveux. ou 3: Elle s'enfuit en criant comme une conne en profitant de la maladresse d'un gardien.)Elle étrangla le garde du corridor, lui pris ses clés, s'évada, prit son arme (Car dans les films, personne pense jamais à désarmer le méchant évanoui tenporairement pour profiter de son arme. Non un"vrai" héro laisse là le fusil chargé bien à porté de main et s'enfuit...désarmer et sans défense...)Armé et dangeureuse, Robin se mit à explorer le bâtiment: Grand, fait de pierres grises, elle entendait un bruit de vague, donc elle jugeait qu'elle setrouvait sur une île ou au large.Elle connaissait une prison qui répondait à ses caractéristiques mais le nom et l'emplacement lui échapait. Elle fut interompu dans ses pensées par du remue-ménage vanant de l'entrée principale (Qu'elle avait trouvé tout à fait par hasard.) Quelqu'un avait essayer de s'échapper et se faisait maintenant rossé par les gardes. Juste avant qu'ils amènent "l'évadé", Robin entraperçu une tignasse blonde....(eh oui , c'est au tour de Sanji d'être dans la merde....)