Pas de commentaire... Bon temps pis je poste la suite quand même
CHAPITRE 8:Zorro : Le frère de Gol .D Roger !
Robin : Chut ! Pas si fort !
Zorro : Mais tu te rend compte ! Ton père est peut-être le seul homme au monde à savoir où se trouve le one piece !
Robin s’assis par terre, regarda Zorro et dit...
Robin : Impossible ! Mon père et mon oncle ne se parlent plus depuis leur enfance.
Zorro : Pourquoi ?
Robin : Il y a 50 ans, la marine a débarqué chez ma grand-mère. Elle voulait parler à mon oncle, alors âgé de 8 ans.
Zorro : Et ensuite ?
Robin : C’était pour une histoire de vol. Mon oncle avait volé un livre à la bibliothèque du village. Jusque là rien de grave, ma grand-mère les laissa entré. Mais lorsque l’agent le pris par la main pour l’emmener ma grand-mère entra dans une profonde colère. Elle s’appelait Cimilia.
*FLASH BACK*
Cimilia : Arrêtez ! Non mais vous n’avez pas honte ! Emmener un enfant de 8 ans pour un misérable petit livre ! Vous ne croyez pas qu’une punition suffirait ?!
Agent : Je suis navré madame mais c’est la procédure.
Camilia : Ordure !
Agent : Calmez-vous madame !
Camilia : Je vous en prie ! Donnez moi une amende je la payerait mais s’il vous plaît laissez mon enfant tranquille !
L’agent mit alors une main derrière son dos. Il sortit un révolver et le pointa en direction de Camilia.
Agent : Un pas de plus madame et je tire.
Roger : Maman !
Camilia : Espèce d’ordure !
Elle fonça sur l’agent et là…
« PAN ! »
Kinjo : Maman, non !
Roger : M…m… Mouin !!!!!!!!
Agent : Ferme la !
Kinjo : Roger espèce de Salo ! Tout ça c’est de ta faute !
« fin du flash back »
Zorro : Je vois… Et depuis ce jours là ils ne se parlent plus c’est ça ?
Robin : Oui… C’est ça.
Zorro : Mais peut-être avec le temps ont-ils eu des relations un peu plus amicales, que tu ignores.
Robin : Oui c’est possible mais ça m’étonnerait fortement.
???: Entendez vous ça ! Gol .D Roger est l’oncle de Robin. Je savais qu’il avait un frère mais je ne savais pas qu’il avait une nièce et encore moins que sont frère était en vie. En voilà une information.
Ils levèrent les yeux et vire …
Zorro et Robin : Brice !
Robin : Tu as tout entendu ?!
Brice : Oui.
Robin : Grrrr… Et comment sais tu que mon oncle avait un frère ?!
Brice : Comment je le sais ? Et bien tout simplement parce que il m’a cassé les oreilles à pleurer comme un enfant de trois ans il y a 50 ans.
Robin : Ne me dit pas que !!!!!
Brice : Et si. C’est moi qui ai assassiné ta grand-mère il y a 50 ans.
Le visage de Robin exprimait une colère si sombre que Zorro en était effrayé.
Robin : Zorro avait raison sur toute la ligne. Tu n’es qu’une ordure qui nous manipule depuis le début !
Brice : Tu sais ce qui est le plus drôle dans tout ça ?
Robin : ???
Brice : C’est que maintenant que je sais que le frère de Roger est toujours en vie et qu’il se trouve sur cette île. Je n’ai plus qu’à envoyer des hommes s’occuper de lui.
Robin : Salopard !!!!
Brice : Ha non… J’ai failli oublier. Il y a quelque chose d’encore plus drôle. C’est que ne pourra rien faire pour lui. Hahahahahhahaha !
Zorro : Robin… C’est le moment ou jamais de m’ouvrir cette porte.
Robin respira un bon coup, récupéra les clefs et ouvrit la porte.
Robin : Et maintenant ?
Zorro : Et maintenant on fui.
Robin : Tu ne comptes pas l’affronter ?
Zorro : Pas encore je ne suis pas près. Mais je t’en fais la promesse Robin… Je tuerais cette homme pour lui faire payer tout le mal qu’il t’a fait.
Robin souris. Elle fut comme apaisée des paroles du bretteur.
Robin : Zorro…
Zorro : Quoi ?
Robin : Merci.
Il lui prit la main et couru à toute vitesse vers la sortie.
Brice : Où vous croyez aller comme ça ?
Zorro : Ne t’arrête pas Robin ! Continue de courir ! Il faut fuir !
*Dans la tête de robin*
Cette main… Je ne sais pas pourquoi mais elle me met en confiance. En la tenant je me sens invincible. Comme si sa chaleur me réconfortait jusqu’au plus profond de moi…
J’étais terrorisé par tous ces évènements mais il ne lui a fallu que quelque mot pour me faire comprendre qu’avec lui je serais plus en sécurité. Et puis il y a cette sensation bizarre. Cette sensation qui me réconforte et me fait sourire quand je suis avec lui. Serai ce de l’amour ?
Non ! Il faut que j’arrête de penser à ça, il est beaucoup trop jeune pour moi. Pourtant, j’ai beau essayé de me sortir ça de la tête, je n’y arrive pas. Et puis je ne sais pas pourquoi mais j’ai comme l’impression qu’il a à peu près la même sensation que moi. Après tout c’est vrai ça. Pourquoi m’a-t-il fait cette promesse ? Zorro n’ai pas comme ça. D’habitude il est froid et grincheux mais là il semblait sincère. Compterais-je pour lui ? Ah ! Il y a tellement de question qui se bouscule dans ma tête… Je ne sais plus quoi faire, où allé, comment faire.
Zorro…
--------------------------------------------------------------
Zorro et Robin arrivèrent enfin sur le pont.
Zorro : Par là viens !
Ils arrivèrent dans une pièce qui ressemblait à un grenier.
Robin : Là bas ! Le placard ! Cachons nous dedans !
Zorro : Bonne idée !
Le placard était assez grand pour accueillir deux personnes.
Ils s’assirent donc dedans.
Ils étaient donc tout les deux dans un placard en attendant l’opportunité de s’enfuir.
Très vite la gène s’installa.
*Dans la tête de Zorro*
Arg… Que dire ? La sorcière ! Je suis sûr qu’elle a fait exprès de nous entraîner dans ce placard.
Pourquoi je me sens impuissant ?
---------------------------------------------------------------
Robin : Tu ne parle pas Zorro ?
Zorro : Arg… Si si bien sûr. De quoi veut tu parler ?
Robin : Je ne sais pas… D’amour ?
Zorro : D’amour ! E… et bien… oui pourquoi pas. Dit-il en rougissant.
Robin se mit à ricaner en voyant ces rougeurs s’installer sur les joues de Zorro.
Robin : Hihi. Alors… Qu’est ce que c’est pour toi l’amour ?
Zorro : Bin… Je ne sais pas trop… C’est quand deux personnes s’aiment profondément.
Robin : C’est à peu près ça. Mais d’après toi, qu’est ce qu’une femme qui t’aime attend de toi.
Zorro : Bin que je l’aime aussi non ?
Robin : Hihi. Décidément tu ne connais vraiment rien aux femmes.
Robin posa délicatement sa main sur le genoux de Zorro.
Zorro : Tu fait quoi là ?!
Robin : Et bien… Je pensait que…
Zorro : Que ?
Robin : Non rien ce n’est pas grave.
Zorro sentait qu’il avait blessé robin.
Il posa alors, à son tour sa main sur le genoux de robin.
Zorro : Robin…
Robin : Chut ! Ne dit rien. Dit-elle en souriant.
Elle se rapprocha délicatement de Zorro puis avança sa tête vers la sienne.
Très vite, Zorro en fit de même. Ils fermèrent les yeux et collèrent leur lèvre sur celles de l’autre. Très vite des langues vinrent s’ajouter à ce baiser.
Zorro passa son bras autour tu cous de Robin puis pencha son corps vers elle jusqu’ ce que le dos de Robin touche le fond du placard. Robin était donc allongeait avec Zorro sur elle en train de l’embrasser fougueusement.
TO BE CONTINUEDVoilà
J'espère que ce huitième chapitre vous a plu