*Toute une histoire* [LuNa] [ZoTashi] [UA]

Zorro_Ashura a écrit:

Génial!!!! Je croyais etre le seul d/fendeur de ce couple majestueux. (depuis que Nefertali est parti j<ai pas beaucoup de compagnons qui le d/fendent....)

moi aussi je supporte le ZoBin vive le zobin et le luna

ps:la suite s'il te plait

Suite demain

Voilà, nouveau chapitre Pas satisfaite du déroulement de l'histoire, parce que j'avais des milliers de versions de cette rencontre.
Au passage... J'espère qu'il n'y a que des filles qui me lisent Et de plus de douze ans s'il vous plaît ! Haha

La princesse de la débauche

Il marcha tranquillement et en silence sur la route de chez lui. Luffy se remémora le visage cramoisi de la jolie Cristal à qui il avait déclaré sa flamme durant l'intercours. Mais la jeune fille, ayant eut vent de sa réputation, refusa rougissante ses avances. Bien qu'il la comprenait, il en avait le coeur brisé. Ne rencontrerait-il jamais son âme soeur ? N'y avait-il donc personne qui soit fait pour lui ? Et pourquoi bordel il avait fallut qu'il soit si romantique ?
"Puisse le ciel me trouver une femme..." marmonna-t-il, énervé et sarcastique. Il décocha un violent coup de pied dans une canette au sol et suivit des yeux la courbe de sa chute. Il lui sembla qu'en cet instant, il était loin de l'homme et plus proche de cette canette.
Luffy s'arrêta devant la maison qui était depuis maintenant seize ans la sienne, mais qu'il n'arrivait pas à considérer comme telle. Son lieu, son chez-soi, c'était sa chambre, son refuge. L'étendue de dix-sept années contenue dans une pièce. Sa vie contenue dans une pièce.
Ce n'était pas pour ainsi dire une maison comme les autres. C'était un véritable manoir, immense et lugubre, que son père adoptif avait acheté pour une bouché de pain il y a une vingtaine d'années. Le portail de fer sombre était gravé en son centre de la lettre "D." et outre le côté glauque de la demeure, le jardin resplendissait de fleurs luxuriantes et à l'intérieur tout le confort possible était disponible. En particulier le vieux majordome, le cuisinier et les trois servantes.
On tombait dans le cliché. Un cliché qu'une seule chose dans le tableau ternissait : Luffy.
Dragon et sa femme n'avaient jamais pu avoir d'enfants. Il arrivait toujours un malheur qui se terminait par une fausse couche. Etant un propriétaire d'une multinationale réputée, Monkey D. Dragon jugeait avoir pour devoir de concevoir un héritier. Or, comme cette dernière chose était impossible pour sa femme et lui, ils décidèrent d'adopter. Et c'est ainsi qu'arriva Luffy, à l'âge d'un an et des poussières, dans un couffin de soie et les yeux clos.
Déjà petit, il s'embrasait d'amour pour les contes de fées, de princesses à délivrer, et jurait qu'il en aurait un jour une, de princesse ! Et pas n'importe laquelle. La plus belle, la plus riche, la plus gentille du monde entier ! Et il la protégerait bien sûr. A quoi ça servait, après tout, un prince qui se roule les pouces et compte les mouches ? Il serait le meilleur des princes, elle la meilleure des princesses, et ils feraient tout un tas d'enfants aussi parfaits les uns que les autres.
Bien entendu, Luffy oublia au fil des ans son but, pour développer son obsession d'amour, son besoin... d'affection ? de sollicitude ? une envie d'aimer et être aimé en retour... ?
Mais Dragon ne s'occupa que très peu de son fils, et lui préféra ses affaires dans le but d'élargir son entreprise. Alors, Luffy, dans cet immense manoir, se fit jour à jour à la perspective sans retour qu'il allait lui succéder.
Luffy passe le portail, longea l'allée de pierres plates, salua ses amis les fleurs et les arbres, puis s'arrêta sur le perron et cogna contre le chambranle.
Le majordome, Esteban (un autre cliché), lui ouvrit immédiatement la lourde porte et lui sourit. "Bienvenue" disait ce sourire. Qui s'évanouit lorsque Luffy demanda à voir son père.
- Je suis désolée jeune maître, mais le maître est occupé, l'informa-t-il, sombre et ferme.
Luffy haussa un sourcil.
- Je veux le voir, insista-t-il gravement. Je n'ai pas pu le voir ce matin au sujet de Miss Perks.
- Je suis désolé, termina son majordome, une pointe de tristesse dans la voix. Le maître est véritablement occupé... il est... en réunion...
Luffy se troubla encore plus. Que se passait-il ? Que lui cachait-on ? Il fronça les sourcils avec détermination. Il n'aimait pas ni l'hypocrisie, ni qu'on lui dissimule des faits. Alors, il se détacha de Esteban et monta quatre à quatre l'escalier central de marbre au plus grand désarroi du vieil homme qui lui cria en vain de revenir et de ne pas faire l'enfant. Il cria avec désespoir.
Luffy se dirigea vers le bureau de son père à grandes enjambées. Le tapis bordeaux sous ses pieds exprima son mécontentement, mais il s'en fichait. Il était si buté qu'il ne perçut pas les bruits étranges qui venaient de la pièce, et ouvrit la porte à la volée.
Son souffle se coupa.
Une femme, belle à tomber, était allongée sur la table de travail de son père, ses mollets galbés pendants dans le vide et se déhanchant. Elle poussait des cris qui sonnaient faux à ses oreilles, des petits sons, à la fois rauques et aiguës, tandis que Dragon lui faisait un passionné suçon dans le cou.
Le cerveau bizarrement ankylosé lorsqu'il posait les yeux sur cette beauté, il ne cessa de la détailler. Elle n'était pas nue, mais presque ; vêtue d'une mini-jupe de vinyle cramoisi et d'un débardeur blanc, moulant et transparent, elle ne portait pas de soutien-gorge et ne semblait pas non plus avoir sur elle une quelconque culotte. Son T-shirt dévoilait un ventre plat et un nombril hypnotisant, et sa jupe, une paire de cuisses musclées et dorées qui fit déferler en lui une vague de chaleur, comme s'il avait bu... de l'eau de vie. Bien qu'il se demanda vaguement si un quelconque alcool pourrait lui faire subir une aussi forte tension et des degrés si élevés. Et au fond de lui-même, il songea avec force que non.
La jeune femme avait remarqué son entrée, contrairement à son père. Elle le fixait dans les yeux, une lueur perverse et provocatrice allumée dans ses prunelles chocolats fondu. Délicatement, avec attention, elle passa sa langue si rose sur ses lèvres si sanguines et observa avec luxure le bel adolescent, complètement déboussolé. Elle était rousse comme l'incendie et avait un bleu proéminent près de l'oeil droit. Ses traits n'étaient pas tous symétriques et elle semblait posséder des milliers de tâches de rousseur. Cependant, et envers et contre tout...
Elle était la plus belle fille du monde.
Le coeur de Luffy, emballé depuis longtemps, parut entonner avec ivresse "Belle ! Belle ! Belle !". Ses neurones étaient comme bloqués ; il n'arrivait plus à penser. Il n'arrivait plus à bouger. Il n'arrivait plus à parler. Il ne pouvait fixer qu'elle. Il ne voulait fixer qu'elle.
"Voilà, pensa-t-il avec... avec le sentiment de vivre la plus belle minute de sa vie. Je peux mourir maintenant."
Sauf qu'il ne le voulait pas.
Et lorsque son père se releva, l'aperçut, lorsque Dragon paniqua et insulta sa prostituée, puis Luffy, lorsqu'elle passa devant lui l'air hautain après avoir été congédiée, il lui demanda son nom.
Elle ne le lui dit pas.

Génialisime !

Zorro_Ashura, mais Nan tu n'es pas seul ! Me voilà telle un prince sur mon fier destrier blanc, brandissant un épée et...
Enfin BREF je m'égare là...

Ouais bon, j'avoue que je me suis éclatée sur ce chapitre

Super suite ^^

Pas de suite avant près d'une semaine je pense, entre tout ce que j'écris c'est dur :/

* mode chiot triste * Tu me fends le coeur...

J'ai quand même une bonne quinzaine d'idées à développer et/ou à mettre sur papier, donc ça devient serré

Je sens que ça va être mortel Aquand la suite

Quand je pourrais Y_Y

Sa devrait être bon là

La suite, la suite!!!!!!!!!!!!!

Désolée pour le retard. Je ne sais vraiment pas tenir une date...

Voilà un chapitre plutôt gnangnan (normal, c'est Luffy x)) mais qui reflète véritablement les sentiments de Luffy bien que les mots soient clairement mièvres. Il fallait bien s'adapter au personnage que j'avais construit en même temps.

Obession

Zoro se réveilla en sueur. Il venait de faire un cauchemar, alors qu'il ne s'était endormi que deux heures plus tôt, à quatre heures ce matin-là. Ce rêve incluait cette Marine butée, Tashigi, et Kuina, son souvenir le plus douloureux : elles étaient toutes deux agenouillées côte à côte et lui faisait des signes de main pour l'inciter à venir, comme à un animal peureux. A la fin, elles se confondaient et l'image devenait trouble...
C'était étrange ; il n'avait jamais remarqué à quel point elles se ressemblaient. C'en était affolant, mais maintenant qu'il se repassait le visage de Tashigi en tête, il ne put que constater combien la ressemblance était à la fois flagrante et extraordinaire.
Il se releva de sa couche à demi, encore étourdi par son songe. Il laissa son regard vagabonder dans la pièce, avant que celui-ci ne se fige sur une protubérance sous sa couette... qui gigota et gémi. La bosse, comme une excroissance, s'agita un peu plus au point que la couverture la découvre.
La proéminence était en fait une jeune fille, nue, à la peau foncée et à la crinière brune, endormie. Zoro, dont la surprise s'estompait, réfléchit sur cette présence et s'étonna de ne pas s'être aperçu plus tôt qu'il avait la gueule de bois. Plusieurs lancinements sous son crâne le lui rappelèrent, et soudain le souvenir ténu de cette jeune femme dans un bar lui apparut. Il ferma les yeux, acquiesçant, et commença à engendrer la procédure dont il était question dans ces situations : s'habiller, sortir de la maison et ne revenir que tard le soir ; le temps que l'inconnue décampe. Il s'extirpa de ses draps avec précaution, veillant à ne pas réveiller la beauté assoupie puis se vêtit d'un T-shirt gris qui moulait son torse, avec un jean effiloché et des converses. Puis, sans bruit, il ferma la porte d'entrée derrière lui et s'en alla.
Il sentit qu'il allait méditer un long moment sur l'apparence de Tashigi... de préférence avec une bouteille de whisky à proximité.

***

Luffy ne dormait plus. Il ne mangeait plus. Il ne parlait plus. C'est à peine s'il respirait. Tout son esprit n'était occupé qu'à une chose : penser, repenser, et graver définitivement la jolie rousse.
Il y pensait la nuit. Il y pensait le jour. Il y pensait en cours, sur le chemin, dans sa chambre assis sur son lit, dans son bain, lorsqu'il arrivait pour lui d'échanger quelques mots : il commençait à parler, puis sa voix s'estompait et laissait en suspens l'échange.
Voilà trois jours qu'il pensait à elle, jour comme nuit, amorphe, obsédé, et durant les maigres rêves qu'il pouvait bien avoir lors de ses rares heures de sommeil, c'était sa silhouette qui apparaissait inlassablement.
Lorsqu'il se remémorait ses tâches de rousseur, son coeur battait. Lorsqu'il se rappelait l'éclat de vitalité dans ses yeux chocolats, son coeur dansait. Lorsqu'il revoyait ses lèvres roses et torturantes, son coeur éclatait.
Lorsqu'il repensait à son père la tripotant, son coeur se brisait.
Il voulait la retrouver. Il voulait la regarder. Il voulait entendre sa voix. Il voulait la respirer, la toucher !, effleurer, caresser chaque centimètre de sa personne, il voulait suivre la courbe de ses boucles, le dessin de sa bouche, de ses sourcils, le contour de ses yeux, la forme de ses pommettes ! Il voulait embrasser sa clavicule, ses épaules, le lobe de son oreille. Il désespérait de son contact, de ses mots, de son sourire.
Chaque soir, il arpentait la ville à la recherche de son regard ou de la courbure de sa hanche...
Son père s'était enfermé dans son bureau et n'en sortait plus depuis cet incident. Il arrivait à Luffy d'être en colère contre lui lorsqu'il sortait de sa léthargie. Comment avait-il pu oser ! Dans le dos de sa propre femme, de sa mère ! Qui elle s'inquiétait du mutisme constant de son mari et son fils...
Comment avait-il pu toucher la rouquine qu'il chérissait ? Celle qui faisait tordre son estomac, ses entrailles, ses poumons, son coeur ! Celle qui faisait pulser chaque veine sous sa peau alors qu'il lui adressait une infime pensée ? Celle pour qui il aurait pu sauté d'une falaise, s'écorcher, se pendre, se noyer, si mesquinement elle le lui avait ordonné ?
Il pouvait faire n'importe quoi pour un coup d'oeil, un clin d'oeil, un mouvement, un plissement de bouche, peut-être même pas un sourire, juste le pli de sa jupe et la chaleur de ses paumes...

Extras ce chapitre!
Et j'y pense encore ...

Maintenant je vais devoir attendre la suite ... Sniif ...

En le relisant j'ai un peu honte, je sais que j'ai du me mettre à la place de Luffy, qui ressent chaque sentiment de manière décuplée, mais ça m'apparaît vraiment mièvre

Ta pas a avoir honte, il était super ce chapitre!!

Je suis tout à fait d'accord avec luna,j'ai adoré ce chapitre et j'attends la suite avec impatience ^^

♥ !! Exellent !! J'adooore !! (surtout le passage ZoTashi ... Ca surprend quelqu'un ? XD)
Vivement la suite !!

Voilà. Je sais que c'est plus rapide que d'habitude, et que je devrais continuer plutôt mes deux autres fictions, mais en ce moment c'est celle-ci qui me donne le plus d'inspiration.
Je sais que ce que j'écris est pas vraiment drôle, c'est une histoire assez dure, même si j'ajoute parfois des touches d'humour.
Merci de me suivre, même si j'écris plus pour moi que pour les autres, j'aime beaucoup lire vos commentaires. Si vous avez des critiques, dites-les, je ne me vexe pas, mais ça me permettrait d'avancer : )

Rêve

Il fit remonter lentement l'arrête de son nez brun le long du corps pâle ; du bas-ventre à la clavicule, s'attardant sur la courbe des seins ronds mais menus. Sa main burinée effleura l'os saillant de la hanche mince, la silhouette en trembla presque violemment, et une perle de sueur goutta de la tempe de Zoro jusqu'à son épaule. De ses prunelles noires qu'on aurait pu qualifier de revolvers, il observa avec attention le visage de sa partenaire. Sans un mot, sans un cri, sans un bruit, elle le regardait intensément, avec défi. Ses joues marmoréennes étaient roses de plaisir et sa bouche formait lentement et silencieusement des mots qu'elle aurait du prononcer à voix haute ; Zoro en était étrangement frustré, comme s'il était dans l'attente de sa voix, d'une parole.
Les cheveux d'un noir sombre se mêlant à la salive de ses lèvres framboises ; dans l'obscurité ambiante et grise, l'éclat de deux dents blanches perce et une décharge parcourt le pirate.
C'est alors qu'il décrypte la phrase, le mot, qu'articulait en silence cette jeune fille.
"Tashigi."
Zoro se réveilla.

***

Il était dans un bus, vide. Ou presque ; sur le siège en face de lui, les jambes croisées, les collants résilles et talons rouges, se trouvait la raison du pourquoi il était né. Une magnifique rouquine, aux yeux cinglants et au visage impudent. Luffy cligna des yeux, et se rendit compte de l'étonnante clarté qui les entourait.
- Alors ? demanda lentement la femme.
De nouveau, il cligna ses paupières bleuâtres, surpris. Malgré son apparent calme, il constata que son coeur s'emballait à des vitesses folles.
- Alors quoi ? lui répondit-il sans comprendre.
Elle plissa la bouche, impatiente.
- Qu'attends-tu pour me retrouver ? bouda-t-elle de sa moue aguicheuse.
- Je te cherche tous les soirs, mais je n'y arrive pas, lui dit-il, peiné, presque désolé, presque désespéré.
- Tu n'as pas cherché au bon endroit, claqua-t-elle.
- J'ai sillonné toute la ville ! s'exclama Luffy, légèrement offusqué.
- Non.
Elle se tue.
- Tu as oublié un endroit.
Il la regarda, fasciné.
- Un endroit où tu n'aurais jamais cherché.
- Un endroit où tu n'as pas voulu croire que j'y étais.
- Un endroit qui te rappelle de mauvais souvenirs...
Ahuri, il écarquilla ses grands yeux couleur obsidienne.
- Souviens-toi.

***

Elle ouvrit les yeux doucement, comme émergeant. Les paupières à demi-closes, elle orienta son regard de droite à gauche, observant l'étrange endroit où elle semblait avancer. Un espace d'un blanc immaculé, le genre de blanc qui vous pique les yeux, le genre de blanc qui vous rappelle la lumière. Dans sa main, fine et opaline, se trouvait une autre main, celle-ci brune et musclée.
Elle leva ses yeux ensommeillés sur la personne à ses côtés. Celle-ci était étonnamment grande, dont les muscles saillaient sous son pull crème. Elle détailla son visage, qui paraissait avoir été taillé au couteau, observa la courbe des sourcils et fut parcourue d'un frisson lorsqu'elle rencontra deux pupilles d'un noir flamboyant.
Ils se fixèrent longuement, marchant sur le même rythme, continuant sur une route droite déjà tracée. Sans le quitter du regard, elle s'aperçut qu'elle portait une longue chemise de nuit blanche, large et légère, et que ses pieds étaient nus.
Soudain, il s'arrêta. Tashigi en fut décontenancée, elle qui était si sereine, pourquoi troublait-il cet instant parfait ?
- ..., murmura-t-il mais elle n'entendait rien.
Il s'avança. Elle put sentir sa poitrine contre la sienne s'élever, et ses joues se couvrirent d'un cramoisi condensé.
L'image se fige en un fondu noir, alors que Zoro s'avance encore un peu plus...

***

Nami avait mal au bas-ventre. Nami avait eut affaire avec un client particulièrement violent. Nami fumait cigarettes sur cigarettes. Ces longues cigarettes dont le goudron en dégoulinerait presque tant elles en étaient chargées. Nicotine. Nicotine. La brûlure âcre dans ses poumons. Son besoin, sa vie.
Le minuscule taudis empestait le tabac, un nuage de fumée, dense, avait élu domicile au plafond, et grossissait au fur et à mesure des paquets qui s'entassaient au sol.
Pourvu qu'elle meure plus vite.
Quelqu'un ouvre sa porte. Nami a la vision floue, Nami a les yeux rouges et ses paupières tombent. La nausée lui déchire le ventre tandis que l'inconnu continue d'avancer vers elle. Il sourit, carnassier, et commence à griffer le ventre de Nami. Nami crie, mais connaît son travail. Nami est déjà nue.
On la rue de coups. L'inconnu aime ça ; jouir en la frappant. Nami a l'habitude.
Nami fait son travail.
Bientôt, l'inconnu part, satisfait.
Alors, Nami vomit ses tripes sur le sol, puis s'endort dans son propre sang.
Nami a l'habitude.
Nami connaît son travail.
Nami aime son travail.

Son travail lui permettra de mourir plus vite.

Je suis d'accord avec luna:Pauvre Nami
A part ça,j'adore ta fic,j'attends la suite avec impatience

J'aurais pas du lire ca, jvai vomir...


mais tout le monde commente le passage LuNa, c'est vrai qu'il est bien, MAIS N'OULIER PAS LE PASSAGE ZOTASHI !! PErso, c'est mon preferé, il est trop bien écrit !!! J'adore, vraiment !!

ℓυηα a écrit:

mais le LuNa à une plus grande place dans mon coeur!

Tu m'étonnes ,sinon dans les passages ZoTashi de ce chapitre,je me suis un peu paumé -_-"