la suite, et des retrouvailles
Chapitre 4 : la troisième année.
BROOK / FRANKY.
Anna : BROOK !!!!!!!
Elle attrapa la première serviette qui lui tomba sous la main, s'enroula dedans te sortit de la salle d bain où elle venait de prendre sa douche. Elle entra dans la salon et fusilla Brook du regard.
Anna : Allez, rends-moi ma serviette, Brook !
Il étouffa un rire tandis que Franky rougissait. Ce n'est pas tant le fait de la voir en serviette de bain qui le faisait rougir, mais c'est le fait que la serviette dans laquelle Anna était enroulée était en fait la serviette bleue de Franky ! Voilà pourquoi il rougissait. *Ahhh, se dit-il, elle est si belle comme ça...*. Étrangement, il se surprit a avoir des idées... spéciales, on va dire. Il la fixait tandis qu'elle se battait avec Brook qui défendait fièrement son trophée. Depuis qu'Anna vivait avec eux, la vie était moins triste. La présence féminine qu'elle représentait rappelait le temps où Nami et Robin faisait la loi sans le vouloir vraiment. Anna fini par récupérer sa serviette.
Anna : Excuse moi, Franky, c'est la première chose que j'ai trouvée !
Franky : Hum ? De... ?
Anna : Ben, la serviette !
Franky : Ah, oui, bien sur, c'est pas grave, Anna-San !
Elle lui sourie, il lui sourie, elle retourna dans la salle de bain, il la suivi des yeux (et que des yeux!), elle se sécha et sa serviette en lieu sûr : dans sa chambre ! Le soir venu après un bon repas préparé par Anna, Franky sortit sur le pont, ce pont sur lequel il était allé si souvent avec l’équipage au chapeau de paille... oui, ça fait 3 ans qu'il n'avait pas vu ses amis et il n'arrivait pas à oublier ! Il s'assit sur la chaise longue qu'occupait Nami. Soudain, il entendit derrière lui des pas furtifs. Il se retourna et vit, à hauteur de son visage celui d'une jeune fille qui hantait ses nuits depuis plus d'un an.
Anna : Que fais-tu là, tout seul ?
Franky, fixant ses yeux si près des siens : Ri... rien ! Et toi ?
Anna : Ben, je m'inquiétais de t'avoir vexé...
Franky : pourquoi serais-je vexé ?
Anna : Ben, à cause de la serviette. Mais ne t'inquiète pas, je ne te la prendrais plus.
Franky : Oh ! Mais tu sais, si un jour tu en as vraiment besoin, tu pourra.
Anna lui sourie et se pencha encore un peu pour déposer un baisé sur la joue du cyborg, qui fut prit d'un violet rougissement qui fit rire la jeune femme.
Anna : Merci, Franky-san.
Elle se redressa et rentra à l'intérieur. Franky la suivi des yeux jusqu'à ce qu'elle disparaisse de son champ de vision. Se baisé lui brûlait la joue. Il passa sa main tremblante dessus et sourie. Il se leva et rentra à son tour. Il trouva Anna qui était encore en train de frapper Brook.
Franky : Brook, t'as fait quoi cette fois ?
Brook : La tentation, mon cher Franky, la tentati...
*Sbam*
Anna : La ferme espèce de musi-pervers ! Ne t'ai-je pas déjà dit de ne JAMAIS entrer dans ma chambre ?
Brook : Yohohohoho ! Désolé, petite, mais je n'y eux rien, tu me connais !
Anna : Franky ! Fais quelque chose !
Elle se tourna vers lui.
Franky : Il t'as pris quoi ?
Anna, rougissant : Hein ?
Franky : Qu'est-ce qu'il t'as piquer ?
Anna, qui baissa les yeux, toujours rougissante : Il m'as pris...
Mais Brook lui vint en aide en brandissant fièrement son nouveau trophée. Franky ouvrit des yeux immenses en voyant ce que son ami tenait entre les os. Anna était aussi rouge qu'un pivoine. Vous voulez savoir c que c'est ?? C'est tout simplement le maillot de bain d'Anna (j'essaye de rester soft, hein?). Enfin, c'est plutôt le bas du maillot de bain d'Anna, si on veut être plus précis.
Brook : Tu ais, Anna-sama, je l'aurai pas pris si tu me faisais le plaisir de le mettre plus souvent et de découvrir ainsi ton corps de femme.
Alors que Brook commençait a baver un peu (et même beaucoup...) il se reçut un sublime coup de poing de la part de Franky.
Franky : Excuse le Anna, tu sais bien qu'il ne peux pas se contrôler quand il voit une jolie fille !
Puis, il se rendit compte de ce qu’il avait dit.
Anna : Alors je suis une jolie fille ? Merci, Franky, c'est gentil ! Quant à toi, le pervers, tu touche plus à mes affaires.
Elle lui arracha le maillot de bain des mains et retourna dans sa chambre. Elle hurla de loin :
Anna : Si tu continus, je vais finir pas tout mettre sous clef !
Le lendemain, lorsque tout trois furent attablés, Brook donna un coup de coude à Franky et fit un signe dans la direction de la jeune fille. Franky ne comprit pas, alors Brook, soupirant dit :
Brook : Eh, petite !
Anna : Hum, oui ?
Brook : Bon anniversaire !
Anna : Oh ! Merci beaucoup, Brook-San !
Frank : C'est ton anniversaire ?
Anna : Ben oui, pourquoi ?
Franky : Ben pourquoi tu nous l'a pas dit, je t'ai pas acheté de cadeau, moi !
Anna : tu me l'a pas demandé,c'est pour ça que je te l'ai pas dit.
Franky : Ben alors bon anniversaire.
Anna les remercia, mangea et sortit un peu prendre l'air. Franky se leva et la suivit sous le regard amusé de Brook. Il trouva Anna, accoudée et regardant la mer qui s'étendait à l'horizon. Qu'elle est belle, se dit-il.
Franky : Anna ?
Anna : Hum ?
Franky : pourquoi t'es pas restée avec nous ?
Anna : J'avais juste envie de regarder la mer.
Il alla s'accouder à côté d'elle.
Anna : Je me dit que j'ai bien de la chance de vous avoir trouvé, Brook et toi.
Franky : Nous on est contents que tu nous ai trouvé.
Anna : Franky ?
Franky : Oui ?
Anna : Merci :
Franky : De ?
Anna : De m'avoir fêté mon anniversaire.
Franky : Tu aurais du me le dire, je t'aurais acheté quelque chose.
Anna : Pas la peine, je vous ai, c'est déjà un beau cadeau, tu sais.
Elle lui fit son plus beau sourire. Franky rougit, Anna rougit. Puis, d'un geste rapide, elle l'embrassa.
Anna : Merci encore, mon cyborg !
Elle rougit. Lui aussi. Elle voulu partir mais il lui prit le poignet et l'embrassa à son tour. Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que Brook les observait depuis l'intérieur. Ils ne savait pas non plus qu'il avait agit comme un entremetteur sans qu'ils ne s'en rendent compte, avec discrétion.
Brook : Yohohohoho ! Je le savais bien, yohoho !
Dehors, les deux nouveau amoureux ne savaient plus quoi dire, ni quoi faire.
Conclusion : durant cette troisième année, Brook fut un peu laisser de côté, mais il ne leur en voulait pas. Franky et Anna ne s'en rendirent même pas comte, et oui, c'est ça l'amour !
SANJI.
Vivi : Sanji !
Sanji avait passé la saison des tempêtes à attendre que se soit fini. Il voulait et il allait enfin revoir son ami Chopper et en plus, il allait voyager avec Vivi ! Cette dernière arriva sans prévenir et entra dans la chambre.
Vivi : T'as fini de faire ta valise, on part bientôt !
Sanji : oui, princesse de mon cœur, j'ai fini!
Vivi : dépêches toi !
Elle lui prit la main pour le faire se presser. Un bateau (et des milliers de gens) les attendaient pour les conduire à Drum. Bien sûr, ils feraient la route avec Alistair, qui devait rentrer chez lui. Il s'était développé entre Sanji et Alistair une jalousie intense, au sujet de Vivi, naturellement. Vivi, elle, n'avait d'yeux que pour Alistair, qu'elle trouvait très à son goût ! Le bateau qui les attendait était un bateau qui, selon Sanji, était comparable au Sunny. Ils montèrent donc, et partirent. Le voyage dura presque 4 mois, 4 mois durant lesquels Vivi et Alistair se rapprochèrent trop au goût de Sanji, qui voyait déjà sa princesse s'échapper de son filet. Au bout de ces 4 longs mois, ils arrivèrent enfin sur la prestigieuse et glacée île de Drum. Ils accostèrent et Alistair proposa de les mener au palais.
Vivi : Oh chic ! Merci, Alistair ! Nous acceptons avec plaisir, hein, Sanji ?
Sanji, fixant Alistair d'un œil noir : Ouais, ouais...
Alistair les y conduisit donc. La princesse de Drum, qui avait été avertit de l'arrivée de son amie d'Alabasta, se jeta dans ses bras.
Princesse : Vivi ! Cela me fait tellement plaisir de te voir aujourd'hui !!
Vivi : et moi donc ! Mais si nous sommes ici, c'est parce que nous espérons que tu pourra nous aider !
Princesse : Venez. Merci de me les avoir amener, Alistair-san !
Alistair fit une révérence, un clin-d’œil à Vivi, et partit. La princesse amena ses deux invités dans sa chambre, les fit asseoir et leur demanda de conter leur histoire.
Vivi : et bien, tu vois, mon ami qui est là est appelé Sanji la jambe noire, il faisait partit de l'équipage au chapeau de paille.
Princesse : ceux qui se sont quittés ? Oui, je vois de qui tu parle. Et bien, que se passe-t-il pour que tu me vienne d'Alabasta ?
Vivi : connais-tu Tony Tony Chopper ?
Princesse : Je m'en doutais. Vous voulez le revoir, n'est-ce-pas ?
Sanji : Princesse, s'il-vous-plais, dites nous où il se trouve !
La princesse rigola.
Princesse : Bien sûr, Sanji, suivez-moi, il est ici même, au palais.
Elle se leva, et, suivi de Vivi et de Sanji, ils sortirent de la chambre. Elle les conduisit dans une grande salle où elle entra comme si de rien était. Dans cette salle, une bonne vingtaine de médecins étaient attroupés autours d'une immense table. Un seul &était plus petit que les autres et avait des bois qui dépassaient de son chapeau.
Vivi : CHOPPER-SAN !!!
Elle se précipita vers lui et le pris dans ses bras.
Chopper : Vivi ? Sanji ! Mais que faites vous ici ?
Sanji : On voulait te revoir, mon ami ! Tu m'a tellement manqué, si tu savais ! À tu des nouvelles des autres ?
Chopper : non, mais Nami a dit....
Sanji : oui, je sais ce que Nami à dit, mais je m'en fiche, c'est bien trop cruel de séparer des ais comme nous tous !
Ils passèrent la soirée devant un bon repas préparé par Sanji. Ils se racontèrent leur vie depuis la fin de l'ère au chapeau de paille. Le lendemain, alors que Vivi et Sanji durent repartir, Chopper sollicita le droit de rester avec eux. La princesse accepta et laissa partir son meilleur médecin, un peu triste.
CONCLUSION : Sanji et Chopper enfin réunis !!
ROBIN / ZORO.
La petite Rukia allait de fêter sa première année de vie. Elle marchait déjà et ses cheveux vert avaient tellement poussés qu'ils lui arrivaient déjà en bas du dos. Les grands yeux bleus qu'elle avait hérité de sa mère étaient d'une curiosité sans borne. Son père, pourtant d'un naturel plutôt distant, était devenu un vrai papa-gâteau, au service des deux femmes de sa vie.
Robin : Chéri ? Tu viens ?
Zoro : Putain, faire un gâteau sans l'autre Ero-cook, c'est pas facile !
Robin rigola. Zoro fit son entrée avec un espèce de gâteau, un peu difforme, avec une bougie dessus . Robin explosa de rire, entraînant Rukia qui rigola aussi en regardant son père qui fit la moue.
Zoro : Oui, je sais, ça ressemble pas à un gâteau, mais ma petite princesse des mers ne m'en veux pas, hein ?
Il fit un baisé à sa fille et lui sourie. Il posa le gâteau sur la table et sortit un couteau en forme de katana que lui avait offert Robin. Il découpa 2 part de taille normales, et une plus petite, pour Rukia qui s'en mit partout sous le regard attendrit de ses parents. Le lendemain matin, alors que Zoro et Robin dormaient, enlacés dans leur lit, ils entendirent une petite voix dire :
???: Maman, j'ai faim !
Ils ouvrirent un œil et virent une petite frimousse adorable à quelque centimètres d'eux.
Rukia : Maman !!
Robin : Rukia, c'est toi ?
Rukia : Ben oui pourquoi ?
Zoro et Robin échangèrent un regard étonné.
Zoro : Ben, voilà, elle a faim, et elle parle...
Robin : et elle parle comme ça, du jour au lendemain ?
Zoro : Faut croire.
Robin soupira, demanda à sa fille de l'attendre dans la cuisine, se leva, s'habilla, demanda à Zoro de faire de même et alla voir sa progéniture chérie.
Robin : Tu veux manger quoi ?
À vrai dire, elle ne s'attendait pas à avoir une réponse claire. Rukia, la veille, savait à peine dire Papa ou Maman, alors...
Rukia : Je sais pas, y'a quoi ?
Zoro arriva et, ensemble, ils prirent leur petit-déjeuné. Bon, à part cet incident, il ne leur est pas arrivé grand-chose, à part...
(quelques semaines après)
???: AHAHAHAHAHAH ! Laissez moi rire, c'est ça, THE Thousand Sunny ? Il a bien changé depusi la dernière fois...
Zoro sortit pour voir ce qu'il se passait, suivi de Robin qui portait sa fille dans ses bras.
Zoro : T'es qui toi ?
???: Roronoa, il est où ton capitaine ?
Zoro : T'es qui ???
???: Non, tu me reconnais pas ? Robin, tu me... mais, c'est quoi ce truc que tu tiens dans tes bras ?
Robin : c'est ma fille, mais...
???: je ne savais pas que toi et Roronoa... Luffy ne m'a pas mis au courant ! Quel sale gamin, celui là ! Il est où au fait ?
Robin : Zoro ?
Zoro : oui ?
Robin : je sais qui c'est !
???: et je suis ?
Robin : C'est Garp !
Zoro : Hein ? Mais la marine devrait être au courant, depuis le temps...
Garp : Au courant de quoi ?
Les deux amants se regardèrent. Était-ce une ruse ou bien Monkey.D.Garp n'était vraiment pas au courant... finalement Zoro pris la parole.
Zoro : Il n'y a plus d 'équipage ! Alors partez !
Garp observa Zoro.
Garp : je ne vous crois pas. Où est Luffy !
Senti une main derrière elle, et, sans qu'elle ne puisse rien faire (ni Zoro d'ailleurs), un officier lui enleva Rukia. Elle voulu le retenir, mais il disparu.
Garp : Quand vous serez décidés à me le dire, peut être que je vous la rendrais, cette charmante Roronoa... c'est quoi son joli nom ?
Robin : Rendez la moi !
Mais avant que Zoro ou elle ne puisse faire quoi que se soit, Garp disparu à son tour. Robin, choquée, tomba à genou sur le sol. Zoro s’accroupit derrière elle et l'enlaça. Une larme coula sur la joue de Zoro, et Robin fondit en larme.
Robin : Qu'est-ce qu'il c'est passé ? Comment est-ce que...
Zoro : On va la retrouver, je te le promet.
Il se leva, essuya les larmes qui lui humidifiaient le visage.
Mais où Garp à-t-il emmené la petite Rukia ? Pourquoi l'a-t-il prit ?
NAMI / LUFFY
Garp avait seulement fait semblant de ne pas croire Zoro et Robin, pour ne pas perdre la face. Mais le couple lui avait juste certifié que la rumeur de la fin du chapeau de paille était bien réelle. Il fit donc recherché son petit fils.
De leur côté, Nami avait accouché d'un petit garçon au cheveux roux, comme ça mère, et au visage identique à celui de son père. Ils l'avaient appelé Ren. Bien sûr, ils n'étaient pas au courant que Garp les recherchait. Pourtant, un jour, il fini par les trouver et...
Garp : Ben alors, Luffy, tu abandonnes ?
Luffy : Que tu crois !
Nami sortit (grave erreur!).
Garp : Décidément, tu me fais des cachotteries ! Tu es papa, donc !
Luffy : Nami ! Rentre dedans, s'il-te-plais.
À se moment là, un officier apparut aux côtés de Garp.
Officier : Chef, on arrive plus à la calmer, elle est intenable !
Il tenait dans ses bras une petite au cheveux vert et aux yeux bleus. Le couple se regarda. Ils ne l'avaient jamais vu, mais ils l'avaient reconnu.
Luffy : Où l'as-tu trouvé ?
Garp : Tes amis me l'ont gentiment « prête » Hahaha !
La petite fille vit Nami et lui sourie. Robin... pensa-t-elle . Elle serra Ren contre elle.
Nami : Mais comment avez vous...
Garp : L'effet de surprise, ma petite, l'effet de surprise. Mais je n'en veux pas à ton bébé, ne t'en fait pas, je voulais juste être sûr de la fin de votre équipage. Maintenant, si vous le voulez bien, je vous laisse cette morveuse et vous la ramenez à vos amis, moi, je sais pas où ils sont.
Luffy : On les a pas vu depuis plus de trois ans, ils peuvent être n'importe où !
Garp : C'est plus mon problème.
Il fit signe à l'officier de poser la fillette. Il la remit donc à Luffy et disparu en compagnie de son chef, laissant le couple, seul et incrédule. Ainsi, il allait falloir qu'ils partent à la recherche de personnes qu'ils ne devraient plus jamais revoir. Nami regarda la fillette. De nombreuses images lui virent en tête. Elle revit Zoro qui s'entraînait, Robin qui lisait, elles qui faisaient les magasins...
Nami : Perdons pas de temps.
Elle entra dans sa cabine et se pencha sur ses cartes. Luffy, lui se mit au gouvernail, après avoir mit la petite (dont ils ne connaissaient pas le nom et qu'ils appelleraient désormais Roronoa ou Nico, au choix) au chaud dans la chambre avec Ren. Renoncer. Renoncer. Renoncer. Renoncer. Pourquoi est-ce si dur ? Luffy se frappa la tête contre le gouvernail. Volontairement. Nami s’affairait. Elle traçait, mesurait, calculait. Elle fini par déboucher sur un point. Un tout petit point d'East Blue.
Nami : LUFFY !
Il déboula dans la seconde.
Luffy : T'as trouvé ?
Nami : Ils sont à une centaine de kilomètres de nous, vers le sud.
Luffy : Donne moi la position exacte.
Nami : Non, mais ils se déplacent, il faut que je calcule en fonction de ça.
Luffy, je vais vers le sud, tu me prévient quand t'as trouvé.
Il allait sortir quand Nami le rappela et lui donna la direction. Oui ils allaient renoncer à vivre une vie normale, loin de pirates et de leur train-train quotidien. Ils allaient retrouver Zoro et Robin. Oui.
Nami : Plus à gauche, chéri !
Luffy : je suis à fond, là.
Nami : Et ben soit un peu plus à fond.
Un jour.
Deux jours.
Trois jours.
Quatre jours.
Cinq jours.
Une semaine.
Un moi.
Deux mois.
Trois mois.
Quatre mois.
Cinq mois.
Une demie-année.
Enfin, un soir, alors que Nami pensait s'être trompée de cap, ils virent au loin une petite lumière, un bateau, peut-être ?