Summer Of Lullaby [roman]

Bonjour, bonsoir, tout dépend de l'heure à laquelle vous tomberez sur ce topic. Je tiens d'abord à préciser que cette histoire n'est pas une fan fiction sur One Piece et n'a aucun lien avec les mangas. Je me suis lancée dans l'écriture d'un roman pour simplement m'amuser.
J'ai posté cette histoire sur un autre forum mais malheureusement l'âge des membres étant un peu "jeunes" peu ont suivi, surtout que beaucoup (et ici je pense) aime les fan fiction mais je ne sais pas écrire ce genre de choses^^.


Allez je vous poste le début du prologue:

[ Le soleil venait de finir sa course cyclique. Le ciel se voilait de fines couches roses et bleues. Les arbres se noircissaient d’ombres tumultueuses et angoissantes. La noirceur tapissait l’herbe au rythme des bruits et jacassements. Le vent s’était levé et le temps venait de s’accélérer pour donner place à la nuit.

Plus rien autour de lui semblait signaler une présence. Seuls l’ouïe et l’odorat sont les plus précieuses armes, pourtant, son souffle devenait de plus en plus oppressant, pouvant trahir son positionnement. Ce n’est pas plus la guerre, mais la course contre la vie, la mort.

« Tu crois vraiment pouvoir survivre dans ce monde ? »

Cette phrase résonnait à chaque seconde de sa vie. Chaque seconde où il mettait le pied à terre, qu’il ouvrait ses yeux ternes et que ses souvenirs se confrontaient au paradis. Elle.

« Ta stupidité te perdra, tu le sais Nael ! »

Son sourire était éclatant, ses cheveux blancs avec des traces bleutées et or magnifiait son visage si tendu. Sa peau si fine, si blanche, parsemée de rousseurs sur ces joues et son nez. Ses yeux d’un bleu si froid, presque glacial, quand la colère l’envahissait, mais qui trahissait sa distance aux sentiments. Ses pupilles n’avaient jamais connu ni les pleurs, ni la peur, ni l’angoisse.

Un bruit se morfondu dans l’herbe et le vent. Nael avait ouvert les yeux. Pour la première depuis ces très longues heures à attendre, ses paupières avaient senti ce mouvement au craquement de l’herbe. A peine ce froissement, ses membres alors en veille s’étaient presque enflammés. La traque pouvait enfin commencée. ]


Voilou, si vous avez un jour de préférence pour que je puisse poster, signalez-le

Bizouilles.

sympa,en plus on voit bien d'avance comment sera l'histoire je trouve