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| Welcome to my imagination | |
| | Auteur | Message |
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Bebop Mousse
Age : 33 Date d'inscription : 15/11/2009
| Sujet: Welcome to my imagination Dim 15 Nov 2009 - 4:29 | |
| Bonsoirs, Bonjour, tout dépend de votre fuseau horaire, quoiqu'il en soit, voici quelques récits sur différents thèmes. Bonne lecture et n'hésitez pas à commentez Cette histoire n'est pas récente du tout et ressemble au film Hancock, il ce trouve que j'avais écrit cette histoire il y a un bon moment mais je ne l'ai fait lire que récemment, donc évidemment, les gens l'ont comparé au film Hancock qui était sortit entre temps. - Spoiler:
Une journée comme une autre...
Le réveil sonne, il est 6h00 du mat, lundi, génial...je vais encore devoir bosser...déjà que j'ai pas un métier facile, si en plus je peut même pas pioncer en paix...allez mon vieux...lève la tête, retire la couette, sort du lit...humpf, pas facile, une bonne douche et un café puis peut-être une clope ou deux...Allez debout!
Aaaaa, une bonne douche, que c'est bon...sa relaxe, allez, le café. Il est quel heure? Oh chiotte! 6h40!! Faut que j'me bouge! Saleté de métier d'mes deux! quoi? hein? Ah oui...vous ne savez pas qui je suit hein? Me présente, jm'appelle Gabriel mais appelez moi Gab's et j'suis un super-héros...sa vous fait rire? logique...je n'ai pas la geu*** de l'emploi...mais que voulez-vous, quand on a pas une thune et qu'on a des dons inhumains...le métier de super-héros est plus dur qu'on le croit, faut ce lever chaque matin, faut supporter les acclamations de la foule, les coups en pleines face par les méchants et surtout, ne pas espérer avoir de récompense. Y'a que dans les films ou un héros gagne contre un méchant et file se taper la jolie jeune fille en détresse. Ici, une fois la fille sauvée, elle vous remercie rapidement et se taille la route et vous avez l'air bien malin, planter comme un idiot à attendre je-ne-sais-quoi.
Métier de m***** j'vous dit...bon, je file, c'est l'heure...pas de combinaison en cuir moulant ou de gadgets higt-tech, non, juste un jean, des baskets pas trop pourris, un T-shirt use et roule ma poule, ma petite touche personnelle, un bonnet et une barbe de 3 jours histoire de pas trop inciter les gens a venir me voir.
Tiens, un message, cambriolage dans la 21eme rue, venez-vite.
Génial...allez, au boulot mon vieux! Bon...j'avoue, être super-héros a des avantages, on n'est pas obliger de prendre le bus ou la voiture ou même de marcher, on s'envole et hop, 5 min après on est sur place. Bon, les défauts, pas de rémunération, les assurances refusent de vous assurer, la sécurité sociale vous pompe un max de fric, un rêve j'vous dit...Tiens, y'a tout le gratin sur place, même le SWAT? Ben dis donc...c'est pas des amateurs on dirait...p'têtre que je vais m'amuser finalement.
Oh non...voila ce c** d'inspecteur d'mes deux...un raciste en plus...vas-y, casse moi du sucre sur le dos, allez, c'est sa...si j'étais la avant...et patati et patata...j'sais pas ce qui me retient de l'expédier ad patre...la pitié peut-être? Bon...maintenant qu'il a finit, a moi de jouer.
J'crois que l'inspecteur vient de crier un truc, c'était quoi déjà? Ah oui...ne faites pas tout péter comme la dernière fois! Hum..pas ma faute, y'avait un camion de gaz pas loin, qu'est ce que j'savais moi que les méchants allaient tirer dessus?
Bon...inutile de toquer, m'ouvriront pas, on défonce le mur...voila, oula, jolie comité de réception, des fusils a pompes, des Uzi...je vais encore trouer mon T-shirt...quand comprendront-il qu'ils n'ont aucune chance? Évidemment...ils vont tenter de tuer les otages...dommage...c'est mon jour de bonté, mon karma m'interdit de les laisser mourir...du moins, les innocents..lui, il a pas la gue*** d'un innocent par contre...dommage qu'il soit un otage...
Voila...j'ramène les otages sont dehors, les méchants K.O...tiens, le raciste arrive...évidemment, faut qu'il me dise que les SWAT aurait pu faire mieux et plus vite...y'a pas de mort pourtant...enfin je crois... je sais pas si celui qui a prit la porte d'entrée sur la tronche va tenir le coup...oh je suis étonné, on m'offre de l'argent...c'est mieux que rien puis sa arrondira les fins de mois...
Tiens, encore un message, course-poursuite sur l'autoroute, venez vite!
Eh m****, la journée est pas encore finit...pu**** de lundi...
Et une autre qui n'a rien à voir - Spoiler:
Mon réveil remplie son job à merveille, à savoir, me tirer de mon doux sommeil pour me redonner le goût de l'amer réalité qu'est les lundi matins. Je me maudit de m'être couché si tard en sachant pertinemment que de toute façon, c'est trop tard maintenant. Je sort de mon lit, un frisson m'envahit, sa caille un max, mes couvertures me manquent déjà. Je vais jusqu'à la cuisine, à moitié endormi et je fait chauffer le café, la seule substance liquide qui me tient éveillé. J'me gratte la tête tout en baillant, foutue réveil pense-je. Le café finit de couler, pendant ce temps, je me lave tranquillement à l'eau froide histoire de me réveiller, la musique m'aide à tenir, la radio crache du bon Red Hot, mon énergie arrive, la douche finit, je retourne dans la cuisine et j'avale le café brûlant, esquisse une grimace après déglutition et hop, me voilà d'attaque. Aujourd'hui, j'ai un contrat, j'ai passé la nuit à établir diverses stratégies pour finalement trouver la meilleure qu'il soit. A 15h00, la cible entre dans le café "Au p'tit Beurre" comme chaque lundi après-midi, elle va i rester jusqu'à 15h15, ensuite, elle prend la direction du métro, 10 minutes de marche, c'est dans l'intervalle de 15h15 à 15h25 que je doit accomplir le contrat, pas le droit de rater, c'est les seules 10 minutes où elle est à découvert et où je suis libre.
Je prend mon sac, mon fusil sniper silencieux est démonté dedans, impossible de savoir qu'il est là à moins d'ouvrir le sac et de chercher attentivement, mes cours sont dans le deuxième sac. Je regarde ma montre, il est 06h30, je doit aller en cours. Pas facile d'être tueur à gages et étudiant. J'ai 22 ans, aucun de mes camarades de classes ne se doutent de ma double-vie, tant mieux d'ailleurs, j'ai pas envie de les tuer. J'arrive en cours, il est 07h00, nickel, je suis à l'heure. Je commence par quoi? Ah oui mer*e, contrôle de maths génial...j'aurais pt'être dût réviser hier soir au lieu de...bah trop tard, j'improviserai. Souvent je rêve qu'un contrat soit mis sur mon profs de maths, j'peux pas le piffer, horrible homme qui passe son temps à râler après le monde, à critiquer tout le monde, imbus de lui-même, vaniteux, bref, le genre de type qui nous donne souvent un seul avis, celui de l'abattre. Le contrôle commence, les équations et autres inéquations, nom de dieu, j'aime pas sa.
Il est 9h00, les 2h de maths sont finis, j'ai foiré le contrôle, bah tant pis, c'est facultatif. La matinée finit tranquillement en cours de français puis vint l'heure de la cantine. Comme d'hab j'mange avec mes deux seuls amis, Marc, un no-life accro à World of Warcraft et Tom, un musicien fan de rock, on est pas dans la même classe, chacun séparé, pendant que Marc explique à Tom le pourquoi-du comment par rapport à la futur extension de World of Warcraft, moi je regarde tout autour de moi, mon regard se pose sur Angélique, 1m78, des cheveux mi-longs rose bonbons, un sourire à faire tomber n'importe quel homme, même moi j'ai succombé. On n'a parlé que deux ou trois fois ensemble, j'suis trop timide bon sang! Est-ce que elle sait que je l'aime? Surement pas...ou pt'être bien que si, bah, peu importe.
Il est 13h00, jusqu'à 14h30, je suis en cours, ensuite, j'aurais 30 min pour aller à mon poste et faire mon boulot. L'heure passe lentement, très lentement...Sa y'est! Cours finit! Je dit au revoir rapidement, j'ai presque atteint le portail quand j'entend mon prénom. Je me retourne, Angélique m'appelle, elle vient vers moi, ses cheveux roses jouant dans le vent, elle dit qu'elle veut me parler quelques secondes, je l'écoute, elle me propose un rencard ce soir à 19h00 au ciné, j'hallucine, intérieurement, je saute de joie, je lui dit que je serais là, elle me sourit et repart en cours, moi,, je pique un sprint, heureux. 14h50, il me reste 10 min, je monte en haut de l'immeuble qui fait face au "P'tit Beurre". J'ouvre mon sac, je déballe le fusil, je l'assemble, vérifie que personne ne me regarde, je m'allonge sur le toit, arme prête, le vent est quasi nul, parfait,j'ajuste ma visée, parfait, y'a plus qu'à attendre.
15h00, la cible arrive, elle rentre dans le bâtiment, j'attends tranquillement, 15 min plus tard, elle ressort, je retiens ma respiration, la cible tourne la tête vers ma direction, je presse la détente, le bruit du silencieux est étouffé par les klaxons des voitures, ma cible s'effondre au sol, un trou dans la tête, je me relève discrètement, démonte mon fusil, le range, ramasse ma douille, 2 minutes plus tard, je suis dans la rue, mains dans les poches, je rentre chez moi, j'ai un rencard ce soir et je doit aller valider le contrat...
Dernière édition par Bebop le Dim 15 Nov 2009 - 4:35, édité 2 fois | |
| | | Bebop Mousse
Age : 33 Date d'inscription : 15/11/2009
| Sujet: Re: Welcome to my imagination Dim 15 Nov 2009 - 4:32 | |
| Je ne sais pas si vous connaissez le jeu sur internet "Hordes", si tel est le cas, sachez que c'est un jeu de survie dans un monde remplie de zombies. Voici des histoires inspirés du jeu et de mon expérience personnelle. - Spoiler:
I)Welcome to the hell...
Un rayon de soleil m'éblouit, je sort de mon rêve, un rêve paradisiaque, pas de zombies, pas de désert, pas de mort, juste ma femme, de la verdure et un ciel bleu...Je regarde dehors, une terre aride, un ciel nuageux dissimulant un soleil sans âme et ma femme...enfin ce qu'il en reste...c'est a dire pas grand chose. Je l'ai aimer, aimer comme on peut aimer quelque jusqu'au jour ou elle a essayer de me bouffer, la, mon amour habituellement exprimer par des baiser ou des câlins a préférer s'exprimer par l'intermédiaire de mon coupe-coupe. Je voit encore son visage doux, des cheveux bruns soyeux, sa voix magnifique...rien a voir avec la chose qui prit sa place et qui bavait partout en essayant de me chopper.
Je sort de ce qui me sert de maison, une simple toile de tente, pas du luxe mais après tout, le luxe ne sert a rien ici. Je m'étire et regarde autour de moi, plus aucune trace de l'attaque de la Horde, rien, nada, des citoyens plus matinaux ont dut faire le ménage. Je constate qu'il manque deux maisons, donc deux citoyens sont morts...Ont-ils souffert? Quel importance...après tout, ils sont morts...J'avance vers les chantiers voir le boulot, hier on a achevé le champs de pieux et aujourd'hui, on tente le Grande Déménagement.
Combien de temps je suis rester au chantier? 1h? le quatriple? Je ne sais pas...la nuit tombe, je sens un vent de panique saisir la ville, ils arrivent, est-ce que les 5 citoyens dehors ont pu rentrer? J'espere pour eux...
Les voilas...ils sont tout autour, harcelant les défenses de la ville, on a bien bosser aujourd'hui, je ne pense pas qu'ils vont passer...
Je n'ai pas peur...la peur a disparue depuis longtemps, laissant la place a de l'anxiété et de la patience, savoir si la mort viendra ce soir ou pas...apparemment oui, ma tente tremble, les défenses n'ont pas tenues donc...j'empoigne mon coupe-coupe, la tête d'un zombie apparait, je la tranche net et me baisse juste a temps pour éviter un coup de griffes vengeur. Je reste la, seul dans le noir et le bruit de ma respiration, l'odeur de la mort ce répand tout autour, j'entends des cris, mes voisins semblent avoir eu moins de chance...
Soudain, tout semble calme, plus de bruit, plus rien...J'ose sortir, coupe-coupe en main, la ville semble encore debout, je rejoint quelque citoyens dans la rue, aussi perdu que moi, je les regardent et inversement, nous nous regardons tous, ultime survivant de cette ville, de notre espoir...demain soir...nous ne serons plus la...
II)It's a good day to die...
Belle journee pour mourir...c'est la première chose que je pense chaque matin quand je me lève, chaque matin qui succède a une nuit d'horreur, de violence, de cris, de peur. La peur... la peur qui nous prend aux tripes, notre respiration augmente avec notre rythme cardiaque, le moindre bruit est prétexte a sortir son arme, on ce méfie de chaque citoyen, on devient parano, solitaire, chaque nuit depuis la première jusqu'à la dernière. Et quand le soleil revient, nous redevenons une communauté s'entraidant mais l'espace d'une nuit, nous voyons tous en notre voisin une cible au potentiel supérieur au notre pour les zombies.
Est-ce ainsi que l'humanité devait mourir? Est-ce une punition divine? Un acte de folie de quelques scientifique ou militaires? Nul ne le sait et ne le saura jamais je pense, et tant bien même nous connaissons la raison de tout cela, est-ce que cela changera quelque chose? Est-ce que cela nous empêchera de nous réincarner pour encore subir la tourmente? Je ne pense pas, d'ailleurs, je ne pense plus trop.
Je laisse mes pensées vagabonder dans mon esprit alors que nous stoppons les fouilles. C'est l'heure de rentrée, il ne fait pas encore nuit mais nous devons travailler a l'atelier nos nouveaux matériaux pour finir le chantier, un chantier vital, nos réserves d'eau viennent a manquer, ils nous faut une pompe et un purificateur sinon, nous ne passerons pas le 5eme jour.
La marche dans le désert n'est pas facile, il fait chaud, nos pieds nous font souffrir, la soif menace. Au loin, une forme ce dessine, notre ville, notre unique espoir de voir l'aube chaque matin.
On franchit les portes, d'abord la banque, on dépose nos ressources puis partons a l'atelier. Pendant 2heures, on bosse dur pour obtenir quelque chose a peu près utilisable. Ensuite, nous allons au chantier. Bien, ils ont avancer par rapport a tout a l'heure, même si la fatigue m'empeche de les aider, je supervise, je dit ou mettre, que faire, ne pas faire.
Il est 22 heures et nous avons finit la pompe et le purificateur, nous avons le temps pour faire un autre chantier. Lequel? Apparemment, la communauté veut les oubliettes. Ok. Les quelques citoyens encore en forme creusent vite, très vite, espoir futile ou salutaire? Nous le saurons bien vite.
23h50, les oubliettes construites, les portes fermée, les citoyens barricader chez eux, moi aussi, nous n'avons plus qu'a attendre.
Le temps passe, les minutes semblent durer des heures, chaque bruit semble intensifier, je les entend, les voila, ils martèlent les murailles, leurs grognements glace le sang, Un bruit sourd, un bruit sourd qui sonne comme le bruit d'une promesse de mort, nos défenses n'ont pas tenues, ils sont trop nombreux, nous ne sommes qu'une vingtaine face a l'armée de morts qui nous envahit, cette fois c'est la fin, peut-être que je vais mourir pour la dernière fois, je sourit, serre mon coupe-coupe contre moi et prie une mort rapide...
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| | | cronos Pirate de premier ordre
Age : 31 Localisation : attendez je regarde ... heu... je suis perdu !!!! aider moi T_T Emploi : bas chomeur XD Date d'inscription : 15/12/2008
| Sujet: Re: Welcome to my imagination Dim 15 Nov 2009 - 13:35 | |
| Un Hordeur Ta combien de point d'ame ?? Et pas mal t'est histoire ^^ | |
| | | Bebop Mousse
Age : 33 Date d'inscription : 15/11/2009
| Sujet: Re: Welcome to my imagination Dim 15 Nov 2009 - 21:43 | |
| Euh...j'avoisine les 1000 pts mais je n'ai pas fait de ville depuis un long moment...Bebop est mon pseudo sur le jeu. | |
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| Sujet: Re: Welcome to my imagination | |
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